J’ai réalisé ce plat à l’occasion d’un repas de retrouvailles avec mes ex-colocataires à Lille. Jaune et Marron, ces carnivores, ont carrément apprécié et n’ont même pas fait remarquer qu’encore une fois il n’y avait pas de viande, une vraie victoire pour le peuple (et le végétarisme) (et la planète).
Ce rösti géant est délicieux, croustillant à l’extérieur et fondant à l’intérieur, et les légumes qui accompagnent sont un vrai plus ! Bref, une recette validée par le comité de la flemme mais uniquement si tu as un robot. Franchement, c’est chiant à râper à la main .
La recette de base utilise des pommes de terre mais je préfère largement les patates douces : du coup, les röstis manquent d’amidon pour tenir, donc n’hésites pas à ajouter un œuf si ça ne tient pas. Si tu préfères les pommes de terre (ou que tu as la flemme de sortir faire les courses), tu peux enlever 1 œuf. Tu peux aussi varier les légumes selon ton goût (panais, navets, carottes…) et tu peux en faire des petites galettes pour burgers par exemple.
Enfin le retour de la boulette végé ! (zéro référence musicale ici) Comme tu as dû t’en rendre compte, je suis complètement fan des boulettes et galettes végétariennes, mais je n’avais jamais testé celles de Clémence Catz. Jusqu’à aujourd’hui… j’ai découvert d’ailleurs qu’elle avait carrément écrit un livre sur le sujet ! (c’est pas bientôt mon anniversaire mais je pose ça là quand même)
Le plus intéressant ici, c’est la chapelure de noisette, qui grille au four, c’est un délice… Tu peux évidement remplacer les noisettes par les oléagineux de ton choix. J’ai dévoré ça avec du chutney de pommes, mais une sauce au yaourt et à la menthe irait aussi parfaitement ! Et pour une fois, la cuisson au four les laisse fondantes…. bref, à tester absolument.
Dans ma série « légumes d’hiver rôtis » et « détox de janvier » (moyennement réussie maintenant qu’on en parle), voilà les navets. Tout comme le chou rouge et les choux de Bruxelles, ça ne fait pas rêver, mais ça peut être vraiment délicieux. J’ai mangé ça au lendemain du nouvel an, avec les restes de foie-gras et de saumon fumé, voilà. La vie est trop dure.
Comme dans cette tarte tatin, le miel rend les navets fondants et délicieux ! Ils caramélisent avec le miel et la sauce soja, tu peux aussi ajouter du sésame et servir avec de la coriandre par exemple !
Te voilà face au plat le moins sexy de l’année, le moins food porn, celui qui va faire le moins baver tes amis, bref celui qui ne fait pas rêver. Mais te voilà aussi face à la technique pour manger du bon chou rouge cuit. Sans l’odeur ni le goût du chou bouilli de la cantine. De rien.
Personnellement je mange surtout le chou rouge cru en salade, pour son croquant et sa couleur (comme ici par exemple), et j’ai eu beaucoup de mal à trouver une bonne recette de chou rouge cuit. La clé, c’est la cuisson très lente, qui donne un plat très doux et qui s’accommode avec tout… Donc que tu sois en pleine détox ou non, tente le coup, tu verras !
Tu peux servir ce plat avec un peu de riz ou une purée de légumes, ou encore une viande rouge.
La reprise post-fête est difficile. On a tous trop mangé, on a beaucoup dormi, on a pris des résolutions bizarres qu’on tiendra rarement, et on doit retourner au boulot en ayant aucune envie de quitter le monde enchanté de Noël, où on est entourés de sa famille et de ses amis, pour retourner dans une dure routine. Et en plus il fait moche.
Janvier est un mois un peu bizarre : tout le monde dit qu’il va manger moins, mieux, faire du sport… et puis il faut finir les chocolats, faire la galette des rois… mais quand même manger sain, et tout le monde grimace en achetant des tonnes de légumes sans savoir quoi en faire. Et moi je reçois d’autant plus de messages, et je vois des amis qui se forcent à manger des trucs sans goût parce que c’est « sain ». Mais non franchement, c’est pas difficile de manger des légumes et de se faire plaisir sans manger de trucs trop gras (et puis comme ça on peut prendre un des chocolats restants en dessert) ! Le tout est dans l’assaisonnement, l’accompagnement, et surtout la cuisson desdits légumes.
Arrive alors mon kiff absolu, dont je te parle tout le temps : rôtir les légumes au four. Ce qui pimpe absolument tout. Exemple du jour : le chou frisé, tu sais ce truc que tu n’achètes jamais car c’est carrément pas inspirant et dont tu ne sais jamais quoi faire. Bah tu le fais rôtir avec des épices et du jus de citron, et tu le manges avec du riz basmati ou du kasha. BIM.
J’ai fini mon nouvel an à siroter un bol de soupe à 5h du matin. Oui. Mais attention, c’était un nouvel an génial ! On a bien mangé, bien dansé et bien ri, on a juste fini avec de la soupe. C’est peut-être ça, finalement, l’adulterie… Ça avait commencé par un grand repas avec foie-gras, saumon fumé, feuilletés, fromage, en veux-tu en voilà, et évidemment, j’ai insisté pour faire le dessert. Pour nouvel an, je voulais des fruits, quelque chose de pas trop lourd, mais d’un peu classe… Et comme par hasard, mon beau-père, qui prépare un CAP pâtisserie, avait acheté un coupe-lanière pour ses expériences culinaires, ce qui m’a permis de me jeter sur cette merveilleuse tarte tatin, créée par le pâtissier William Lamagnère, qui a eu énormément énormément de succès ! (Z. m’a dit que c’était la meilleure qu’elle avait mangé de sa vie)
Les pommes sont coupées très finement, comme des feuilles de lasagnes et enroulées bien serrées avant de cuire très longtemps dans un caramel au beurre salé… Elles deviennent extrêmement fondantes, c’est un délice.
Alors le gros problème de cette tarte (en dehors du fait qu’elle prend 3h à faire), c’est qu’il te faut absolument un coupe lanière, ou son équivalent qui se fixe sur kitchenaid (sur kitchenaid c’est super cher, mais sinon c’est accessible, après il faut avoir de la place dans sa cuisine, pas comme moi…), comme ceci :
J’ai scrupuleusement suivi la façon de faire, excepté pour la chantilly dulcey vanille, que j’ai trouvé lourde à la première dégustation (ledit beau-père avait inauguré le coupe lanière avec cette tarte), mais dont tu peux trouver la recette par là, et pour l’huile d’olive. William Lamagnère ajoute en effet de l’huile d’olive au caramel, mais perso le goût m’avait un peu gêné à la première dégustation donc je l’ai virée et ça n’a rien changé à la cuisson. C’est pour ça que c’est « un peu comme William Lamagnère » (j’ai failli mettre « à la manière de William Lamagnère » mais je me suis retenue. De justesse).
Récemment, on m’a fait la remarque que je ne faisais que des recettes « lourdes » sur mon blog. J’ai été ultra vexée (eh oui je suis comme ça. Non).
Certes, je fais des recettes de pâtes, de gratins et pas mal de desserts, mais aussi beaucoup de salades, de soupes, de purées etc, et cela a beau être des recettes réconfortantes et nourrissantes, elles ne sont pas lourdes du tout ! Y’a même une catégorie exprès par là. Illustration en action : cette recette de purée, qui n’est pas à base de patate mais de patate douce (c’est plus sucré au goût mais plus léger en fait ! Y’a une raison pour laquelle les foodies d’instagram adorent ça), avec du chou kale qui est ultra bon pour la santé (et cher aussi). Et pourtant, c’est de la confort food à l’état pur.
Pour le retour de mes recettes de pâtes, je me suis fiée comme souvent à Beau à la louche. Pour ce qui est des pâtes, je lui fait aveuglément confiance. Après les pâtes aux sardines, j’ai donc testé une recette d’hiver avec plein de bonnes choses (si tu as déjà oublié c’est dans le titre. Bah oui je vais pas tout réécrire non plus), et c’était une tuerie.
De plus, habitant près du quartier chinois du 13ème (oulàlà tu connais toute ma vie), je craque souvent à Tang frères, LE supermarché de produits asiatiques. En général, je prends du miso, du kimchi, parfois un peu d’anko (j’ai refait mon gâteau au chocolat et aux haricots rouges deux fois récemment…), le vrai riz basmati Tilda (je n’ai aucun sponsoring hein, j’aimerais bien par contre si quelqu’un de riz Tilda ou Tang frères passe par là…) et puis je rentre satisfaite. Sauf que la dernière fois, je me baladais dans les rayons quand je suis tombée sur les spaghettis de patate douce.
Il fallait que je teste.
Si tu suis instagram, tu auras vu ma perplexité devant le côté gélatineux du truc, mais une fois bien cuit, c’était délicieux ! Bien sûr, la recette fonctionne avec tout type de pâtes, mais je pense que la prochaine fois que je vais à Tang frères, j’achèterai une tonne de pâtes différentes pour tester. J’aime vivre dangereusement.
J’ai enfin fini mon vide placard avec la noix de coco râpée. La première et la dernière fois que j’en achète ; pas que je n’aime pas, mais je ne pense jamais à l’utiliser. Il m’a donc fallu 6 mois pour me décider à faire des biscuits à la noix de coco, et pas n’importe lesquels, ceux de Felder et Lesecq. Les proportions sont ultra facile à retenir et la quantité de noix de coco est optimale : le goût n’est pas trop fort, juste ce qu’il faut ! Je les ai trempés dans du chocolat fondu et je les ai amenés au boulot : malgré leur forme… anarchique, ils ont eu beaucoup de succès.
Ces biscuits m’ont également servi à fêter autre chose dont je t’ai déjà un peu parlé : mon diplôme de Sciences Po ! Bah oui, après moult années à hanter les couloirs de Pipo (son petit nom dans le milieu), j’ai fini par être balancée dans le monde du travail, avec tous les désagréments que cela engendre. Mais bon, c’était une bien belle cérémonie, avec tous mes amis, dont L. rentrée spécialement de Buenos Aires, plein de champagne et de petits fours, et une fin rocambolesque -comme toujours- lors du gala en Belgique. Ah, la jeunesse.
Enfin, le moment est venu de faire le best of ! Comme toujours, c’est un moment nostalgie x1000, où je me replonge dans l’année, et pour le coup 2017 fut une année chargée (pas en publications par contre, vu que j’en ai moins qu’en 2016, année où j’avais eu très peu de cours…).
J’ai commencé 2017 par mon premier voyage (oufissimme) aux US avec T., avant d’être bloquée par les problèmes de santé, de déménager à Paris pour six mois de stage qui m’ont privée de vacances d’été (ce qui est VRAIMENT dur quand on a pris l’habitude comme moi de bosser dans l’année pour ne jamais avoir à bosser pendant les vacances) et d’entamer une dernière année d’études avec un rythme très chargé d’alternante dans l’édition… une année où j’ai rencontré plein de gros mangeurs comme moi, et où on a bien mangé, même si j’ai dû apprendre à me débrouiller dans une mini cuisine, sans robot ou matériel un peu développé… et enfin l’année de mon diplôme de Sciences Po !
Un changement radical donc, passage de Lille à Paris, déménagement que je subis mais qui est un peu obligatoire pour une éditrice… J’attends donc la solution miracle pour quitter Paris ! 2018 sera tout de même (normalement) ma dernière année d’études, et -en septembre si tout va bien- je partirai pour un looooong voyage en Amérique Latine ou à New York, l’avenir nous le dira !
Encore merci à tous pour vos commentaires et vos messages, de vive voix, sur instagram ou ici, rien ne me fait plus plaisir devoir mes recettes testées, modifiées, aimées, et surtout qu’on me dire « c’était super facile » ou « je le fais tout le temps » ! J’ai d’ailleurs ajouté une option sur le menu à droite pour pouvoir s’inscrire au blog et recevoir une alerte pour les nouveaux articles. J’étais persuadée que j’en avais déjà une en fait…
En janvier, je pars à New York avec T., mon testeur-roi de l’année 2016. Un voyage de trois semaines géniallissime, qui a mis le gras à l’honneur. Du coup, je n’ai pas publié beaucoup de recettes, mais j’avais programmé quelques recettes américaines (comme par hasard). Alors, à l’honneur, ma recette de cookies, souvent reproduite, jamais égalée, modifiable dans tous les sens (par exemple avec cette version praliné et noisettes), et ultra validée, et une pecan pie, ma première, une tuerie !
J’en profite pour te rappeler que j’ai des classements par continent ou pays (selon les zones) : Asie, Afrique, USA… Et oui, j’ai aussi essayé d’améliorer la recherche et le référencement cette année en modifiant les catégories et menus.
En février, je suis bloquée chez moi par mes problèmes de cheville qui avaient commencé fin 2016, et qui se répercutent dans mon dos. J’attends donc chez mes parents de guérir et de commencer mon stage parisien. Évidemment pour m’occuper, je cuisine. Je découvre que, comme avec les pizzas de légumes, on peut faire des burgers en remplaçant le pain par des légumes… Pour tous ceux qui cherchent une excuse pour manger plus de burgers. Je travaille aussi ma recette de pirogis, donnée il y a des années par une amie polonaise, réactivée dans les restos ukrainiens de New York…
En mars, j’emménage à Paris ! Sixième sans ascenseur, zéro meubles, un véritable camping pendant les premiers mois, et pas beaucoup d’équipement de cuisine… Donc je ne cuisinais pas beaucoup au départ ! Heureusement, lors des retours à Lille, j’ai pu concocter pour la crémaillère de mon ex-coloc Jaune ces magnifiques cookies sandwichs (mais pas ice-cream sandwichs… bientôt), dont on me reparle souvent et qu’il faut absolument que je tente avec du caramel au beurre salé. Je me suis également gavée de salades -comme chaque semaine de l’année en fait- dont je retiens celle-là, très colorée et pleine de saveurs. Je découvre également qu’on peut cuisiner les feuilles de chou-fleur…
En avril, j’ai enfin une cuisine digne de ce nom avec un plan de travail ! Je commence à faire un peu plus d’articles mais il faut avouer que j’ai du mal à me faire à la vie parisienne… Je sors enfin mon « Que faire avec » sur le pain sur lequel je travaillais depuis un bon moment ! Je profite de l’ail des ours du jardin de ma mère et je cuisine pour la première fois pour mes collègues du boulot un cobbler, ce qui me vaut assez vite d’être désignée d’office pour les gâteaux de départ et d’anniversaire…
En mai, le match est hardu mais c’est ce gâteau, également réalisé pour mes collègues, super chocolaté et fondant comme un fondant baulois mais un peu moins gras, qui remporte la main et une nouvelle variante du dahl, toujours aussi délicieux ! Je réalise un deuxième avant/après des photos de la honte, cuisine japonais et oriental, pleure devant les élections…
En juin je fais mon premier vide placard, où je sélectionne les denrées qui doivent disparaître au plus vite de mes placards, généralement parce que je ne m’en sers jamais, et que j’ai recommencé plusieurs fois depuis ! Je crée la catégorie produits industriels maison, avec du sucre vanillé, des pâtes à tarte, et cette fameuse béchamel, qui figure dans le top car je m’en sers tout le temps depuis, je ne fais presque plus de béchamel normale ! Sinon, ce sera the cake pistaches framboises fait avec mes parfums préférés pour mon anniversaire et qui est une TUERIE, peut-être la meilleure recette de l’année, et probablement meilleure que l’année dernière (et c’est déjà une réussite…).
En juillet, je me prépare à rester bloquée tout l’été à Paris. C’est la première fois de ma vie que je n’ai pas de vacances d’été et c’est très, très dur. Je déguste mon premier rhum arrangé, ma première glace, je crée une nouvelle rubrique, « idées recettes pour« , que vous avez pas mal plébiscité ! Je dévore les premières figues dans des gözlemes (déjà présents dans le best of 2016) et les premières pêches dans ma première pizza maison, une tuerie ! Bref, le mois des expériences, au milieu de laquelle « tenir le bureau et faire face aux urgences toute seule » était quasi anecdotique…
En août, toujours coincée à Paris, je vais cueillir des orties chez L, sous le regard horrifié de ses parents (qui me l’ont encore fait remarquer à la remise des diplômes de décembre). Je profite quand même du 15 août pour m’enfuir cinq misérables jours en Bretagne, où je teste ces deux recettes : un crumble bananes chocolat, que je n’aurais pas spontanément choisi pour le best of mais dont on me reparle si souvent que je me dis qu’il doit avoir quelque chose de spécial, et les spaghettis au lait coco qui ont eu elles aussi beaucoup de succès ! Le mois finit en beauté car je me fais cambrioler, perdant mon appareil photo et mon ordi… de quoi faire quelques jours de pause pour le blog.
En septembre, je commence ma nouvelle formation… d’éditrice ! Début de l’alternance avec du free-lance en parallèle, et je commence à réaliser que le rythme va être difficile à tenir… Je me lance cependant dans le kimchi maison, que je fais régulièrement depuis mais je me raccroche surtout à la parfaite recette de carrot cake de l’anniversaire de petit frère n°2 et à cette magnifique tarte linzertorte salée aux figues… J’ai fini par me créer mon nid et mon rythme parisien, à base de vélo, de bibliothèque, de verres à la butte aux cailles et de repos lillois réguliers.
Pour mon départ de stage, je mets enfin au point the recette de cheesecake ! Après des mois et des mois d’expérimentations, je mets au point la recette miracle, que je te décris en long en large et en travers dans l’article, avec toutes mes astuces ! Depuis, on ne fait que me le réclamer… L’automne arrive, je me remets aux recettes cocooning, dont les udons testées avec T. (l’avantage d’habiter dans le 13ème tout près des Frères Tang…) que je fais en cas de déprime. Le gras, remède à tout.
En novembre, j’ai enfin un nouvel appareil photo, que j’apprends peu à peu à domestiquer. Je repère les gourmands dans ma nouvelle classe et une d’entre elles, catalane, nous apprend à faire des panellets, des petits gâteaux à l’amande catalans de la Toussaint. Une soirée cuisine/boisson que nous avons répété depuis pour Noël, et le début d’une collaboration fructueuse puisque nous faisons partie du même groupe pour le grand projet de notre master !
Un mois difficile professionnellement parlant, avec beaucoup de travail, des projets et des dossiers à rendre, des semaines complètes en entreprise, ma remise de diplôme et les préparatifs des fêtes… donc très peu d’articles malheureusement ! Mais il aurait été bizarre de faire un best of sans brioche, surtout sans brioche du brunch (ma spécialité du dimanche matin), donc voilà mes cinnamon rolls !
Voilà, vu le temps que m’as pris ce best of, j’espère que tu l’auras apprécié, petit ingrat. Mais bon, encore une fois, merci ! Merci à mes testeurs du brunch, de la soirée, de la semaine ou du boulot, toujours prêts à goûter, même quand je commence par « c’est un peu raté », merci à tous ceux qui me laissent des messages, à tous ceux qui testent les recettes eux-même, à tous ceux qui me font aveuglément confiance quand je leur parle de nourriture (même si des fois ils ne devraient pas) et enfin merci à toi lecteur !
Si tu veux jeter un coup d’œil aux best of des années précédentes, c’est par ici : 2015, 2016