Pour l’instant, je t’ai uniquement proposé desudonssautés, mais ces pâtes sont aussi délicieuses en bouillon ! Et pas n’importe lequel : un bouillon assez parfumé à base de champignons. Pas forcément un plat 100% d’été, mais après tout tout dépend d’où tu es, et il y a bien des gens qui font des fondues en août donc…
Est-ce que les concombres smashés sont une future nouvelle lubie d’instagram ? Probablement que non. Est-ce que ça révolutionne le goût de ce légume ? Pas vraiment. Est-ce que c’est rapide et plutôt marrant à faire ? Oui, j’avoue.
Contrairement au titre et à ce que pourrait laisser présager le nom, c’est honteusement facile, et ça se marie très bien avec du riz et un oeuf pour un repas rapide et la petite sauce pimpe parfaitement le tout… je te laisse juger.
Je ne sais pas à quel point ces empanadas sont authentiques, mais en tous cas la pâte est bien friable et beurrée, et cette recette est facile et se congèle hyper facilement, donc elle est totalement approuvée ! J’ai déjà approuvé la riste d’aubergine comme farce toute faite par ici et par là, et ça marche hyper bien en empanadas.
L’été arrive, et si j’ai bien dépensé 400000 euros en billets de train, tout n’est pas encore organisé. J’aime bien quand tout est prévu à l’avance donc ça me demande un peu de flexibilité de me dire « on verra bien ». Il y a même une possibilité cette année que je passe un peu de mes vacances à Paris, ce qui est extrêmement inhabituel ; je préfère profiter pour partir au maximum, mais peut-être que ça me fera du bien de rester posée à la maison.
Il y a quelques semaines, je suis allée à Rome avec mon groupe de potes de prépa. Nous faisons ça deux fois par an, avec un comité d’organisation (ou khomité, ceux qui ont fait prépa connaissent) qui prévoit notamment une activité surprise. Et cette fois-ci, nous avions prévu… un cours de pâtes ! Évidemment, en bons habitués des concours (prépa, j’ai dit), on s’est pris à fond au jeu de qui ferait les meilleures pâtes, et de retour à Paris, on a voulu tester nos nouvelles compétences.
Du coup, je te rapporte la technique, pas trop compliquée mais un peu chronophrage. C’est sans laminoir, mais évidemment si tu en as un la recette est la même, excepté que la partie étalage est beaucoup plus facile et rapide.
Tu as peut-être remarqué que je publiais moins en ce moment : mes symptômes de cet hiver ont repris, et la ronde des médecins recommence. De temps en temps j’ai espoir qu’on découvre ce que j’ai et que tout rentre dans l’ordre, parfois pas du tout, et ma motivation à publier suit ces vagues…
Je t’avais déjà parlé du cilbir, et j’ai découvert il y a peu que c’est délicieux sur un rösti chaud ; bon, comme je suis toujours pas super douée en oeufs pochés, je les ai fait mollets, mais on peut considérer que du coup je t’ai simplifié la recette et donc you’re welcome.
Une chose n’est pas coutume, je vais utiliser ce blog comme une tribune pour un sujet de société : non, il ne s’agit pas des élections (#sendnupes) mais bien d’un fait bien plus grave et omniprésent dans la (ma) vie : les gens qui vivent sur cour, dorment les fenêtres ouvertes, et laissent leur réveil sonner.
Chaque été, je fais face à cette gangrène de notre société moderne : forcée par la chaleur à ouvrir mes fenêtres, je suis réveillée dès 6h30 du matin par l’énergumène que, malgré tous mes efforts, je n’ai pas réussi à localiser. Après l’avoir éteint au bout de cinq de minutes de sonnerie, il le laisse ensuite resonner à 6h45, puis 7h, puis 7h15, et ne s’arrête qu’à 7h30. Mais pourquoi ?? Pourquoi s’infliger ça, et m’infliger ça ?
J’ai bien envisagé de laisser un mot à l’entrée de l’immeuble mais je me suis dit que j’avais 27 ans et pas 70 et que je voulais rester une meuf sympa, n’empêche que tous les matins, alors que la sonnerie perce dans mon réveil, je maudit cet inconnu de la cour qui m’empêche de dormir.
Après la brioche au pandan, il me restait de la levure boulangère, et c’était un jour de télétravail : parfait pour de la boulange, vu qu’il y a besoin de laisser reposer régulièrement. J’ai donc fait ces pains chinois qui me faisaient de l’oeil depuis longtemps, qui sont assez gros : j’en ai eu pour quelques repas et j’en ai congelé !
Le week-end dernier, j’étais avec le G10, mon groupe d’amis de prépa, à Rome. Nous avions un grand airbnb et 4 jours pour nous balader et manger des pâtes. C’était un week-end de soleil, de marche, de spritz, de danse, de pâtes, de mauvaise pizza, un peu de migraine pour moi aussi, mais surtout ça faisait plaisir de les retrouver pour ce rendez-vous désormais bi-annuel. Le comité d’organisation (dont les membres changent et donc je faisans partie cette fois-ci) avait même prévu une activité surprise : un atelier de fabrication de pâtes (évidemment, mon idée), dont je risque de te reparler bientôt…
J’essaie de manger plus de protéines en ce moment, alors que je tente de revenir à mon rythme de sport habituel après avoir été malade pendant longtemps. Parfois j’en ai un peu marre du tofu et des oeufs, donc je reviens aux légumineuses, et à ma vraie passion : les galettes et boulettes végés. Voici donc un nouvel essai assez réussi, une galette assez moelleuse, délicieuse dans un pain à hamburger avec une petite sauce au yaourt.
Si tu cherches d’autres recettes de boulettes et steaks végés :
Tu te souviens du one pot pasta ? Je t’en avais publié une recette il y a moult années ! Eh bien depuis, grâce à la magie d’internet, j’ai découvert une variante ; on garde le principe de tout mettre dans une grande casserole et de lancer le feu sans trop s’en préoccuper par la suite, mais on part d’une base de quinoa pour un plat d’inspiration mexicaine. Le bonus de cette recette est que la plupart des ingrédients sont en boîte, donc c’est encore plus facile !
Cette découverte a été bien pratique pendant un long week-end avec mes amis du lycée, 12 personnes et 2 enfants. Je t’ai mis des proportions plus raisonnables pour 4, mais garde en tête que ça peut te sauver un week-end.
Ce titre n’est pas le meilleur que j’aurais pu trouver, mais cette recette est devenue un de mes combos préférés, super simple à faire avec les ingrédients du placard, et avec du riz et des légumes (en boîte ou congelés, si tu as vraiment la flemme) ça te fait rapidement un repas équilibré ! C’est devenu ma façon préférée de cuisiner des pst, et si tu veux en savoir plus et avoir d’autres recettes, va par là !
Ca faisait longtemps que je t’avais pas parlé de salades. Ici je reviens avec une salade pas comme les autres, où les carottes cuisent longuement dans des épices avec du miel et du jus d’orange et deviennent presque sirupeuses. C’est délicieux, il faut aimer le sucré salé, mais perso c’est ma came.
J’ai décidé de commencer à préparer mon anniversaire ; cette année on va au main square avec des copains et L. pour voir un des groupes de mon adolescence, Sum 41 (j’aurais vendu mon âme pour Green day mais bon, faut croire qu’ils ne passent pas à Arras), et le lendemain j’ai pris ma journée pour profiter de Paris, dans l’idée qu’il fera beau et que L. sera là. J’ai donc passé ma soirée à chercher, pourtant deux mois avant le D-day, un resto étoilé sympa, mais impossible. J’avais en tête le resto Mosuke que j’avais fait avec mes colocs, mais évidemment il était plein, et idem pour les 5 autres que j’avais dans ma liste (eh oui j’ai bien une liste des restos étoilés sur mon mapstr, juste au cas où). Résultat, j’ai toujours pas de plan, donc si toi tu en as, n’hésite pas.