Si longtemps depuis le dernier article ! Bah oui, j’étais au Japon et en Corée tavu, c’était fort bien, j’ai beaucoup bien mangé et d’ailleurs je te ferai peut être quelques recettes piochées là bas… Le rythme de publication pendant ces vacances risque d’être chaotique mais je vais essayer de publier le plus souvent possible quand même !
Ce gâteau m’a d’abord tapé dans l’oeil visuellement. Des poires entières, pochées, dans un cake au chocolat et aux amandes encore un peu coulant… Le mélange gagnant de ces tartelettes. Et c’était délicieux. Mes chers testeurs fraternels ont bien aimé, mais l’ont trouvé un peu sucré, perso je le trouvais parfait !
Sinon, pour le racontage de vie, je l’ai fait pour aller dîner au domicile paternel, sur la demande de mon père. Il se trouve que c’était censé être mon gâteau d’anniversaire, sauf que… mon anniversaire était trois semaines après. Merci papa.
Parfois on se casse la tête à faire des gâteaux compliqué, des entremets, du chocolat, du vegan etc etc. Et parfois, on a la famille bretonne qui vient, on veut juste un bon gâteau pas compliqué, facile, faisable avec ce qu’il y a dans le frigo… Et il se révèle bien meilleur que tous les autres.
J’ai trouvé ce gâteau chez Clothilde, c’est la recette de son gâteau d’enfance, celui de sa grand mère. Mes gâteaux d’enfance à moi, c’était plutôt aux fruits rouges, vu que ma grand-mère en a plein dans son potager (il faut croire que les gâteaux d’enfance, on les fait surtout avec les grand-mères), c’est le clafoutis aux cerises et le fabuleux gâteau aux framboises et aux amandes… Ce gâteau aux poires, avec juste un peu d’amandes, est vraiment délicieux, les fruits sont cuits sous la pâte, le tout est fondant, un peu compliqué à découper en parts mais il a disparu tout de suite chez moi et a été tués très apprécié (heureusement parce que j’ai complètement raté mes deux derniers gâteaux donc je commençais à avoir peur).
Ce week end, avec les copains, on est allés à Paris ; de Lille c’est pas loin mais comme on est pauvres, on a pris le bus… et on est arrivés avec plus d’une heure de retard. Il était 14h30, on mourrait de faim, mais on voulait pas se jeter sur le premier subway venu. Du coup, on est allés dans le marais, et on s’est pris des falafels. Et c’était tellement, tellement bon !
Du coup en rentrant j’avais envie de faire un truc du même style, et comme on habite dans le nord et que le mec au marché me refile toujours un chou-fleur gratuit (si si), j’avais deux chou-fleur au fond du frigo… Je suis tombée sur cette recette qui m’a pas mal plu ; c’est plutôt bon, ça se congéle bien, mais faut pas avoir peur de mettre des épices sinon c’est un peu fade. Au niveau de la cuisson, au four ça tient plutôt bien mais faut pas se le cacher, c’est toujours mieux quand c’est frit…
Je mange assez peu de viande, ne serait-ce parce que c’est cher, et je trouve ça sympa de faire des accompagnements végétariens ou vegan avec des protéines, ou alors du poisson, que je ne sais jamais trop comment cuisiner mais que j’adore, contrairement à beaucoup de gens…
(Cet article fait un peu le jeu de toutes les photos trés moches que j’ai pu prendre de mes plats, et montre bien que la qualité de mon appareil laisse à désirer mais bon) (Maintenant que j’y pense, il aurait aussi pu s’appeler « manières ludiques de manger » parce que c’est que des boulettes et des galettes. J’ai jamais vraiment compris pourquoi c’était plus ludique mais en général ils disent ça sur TopChef)
Galettes de haricots rouges
A Sciences Po, on a des repas à thémes, ou tu t’inscris, tu raméne les sous et tu cuisines et dégustes : lors d’un repas vegan, j’ai eu l’occasion de tester ces galettes, et franchement j’ai été comblée ! En plus c’est uber simple. Le top c’est de les manger avec de la sauce soja, ou alors avec un peu de moutarde comme des röstis.
400 g de haricots rouges cuits (soit la contenance d’une boite de supermarché en général)
3 c à s de farine
1 oignon
1 poignée de pignons de pin
sel, poivre
Eplucher et émincer l’oignon. Dans une poele sans matière grasse, faire revenir les pignons 5 min pour qu’ils grillent un peu. Réserver.
Dans un saladier, mixer les haricots rouges égouttés et l’oignon émincé. Ajouter la farine et mélanger pour attindre une consistance permettant de faire des galettes, même si assez elles seront assez molles. Rajouter de la farine si nécessaire. Ajouter les pignons et assaisonner au goût.
Faire chauffer une poêle avec un peu de matière grasse, mettre une grosse cuillière de pâte et laisser cuire à feu doux 5 min avant de retourner.
Boulettes maquereaux aux amandes et au curry (d’après une recette de Beau à la louche)
Cette recette là est née de l’idée de faire manger du poisson à Marron, qui n’aime pas ça et je crois que le pari était réussi, car j’ai reçu le lendemain un snapchat de son tupperware de boulettes sobrement intitulé « c’est du sale » (ce qui, si vous ne parlez pas bordelais, signifie super bon). Les boulettes c’est top pour manger du poisson, ça se mange tout seul et ça fait oublier l’aspect peu apétissant du poisson en boite. Et en plus, ça peut se bidouiller avec les fonds du placard.
2 boites de maquereaux nature
3 portions de kiri
5 c à s de poudre d’amandes
3 c à s de chapelure fine
1 poignée d’amandes éffilées
1 poignée de raisins secs
2 c à c de curry, sel, poivre
Vider l’huile des maquereaux, les écraser à la fourchette au fond d’un saladier. Ajouter le kiri, la poudre d’amandes, la chapelure et les épices. Mélanger.
Ajouter les amandes éffilées et les raisins secs et mélanger de nouveau. Former des boulettes avec la main et les mettre au frais jusqu’au moment de servir.
Boulettes de sardines à la ciboulette (toujours d’après une recette de Beau à la louche)
Et toujours pour Marron, qui a aimé ! (Je racontais d’ailleurs à ma mère que j’avais réussi à faire manger du poisson à mes colocs quand petit frère n°3, 7 ans, s’est exclamé « Marron ? Mais elle aimait pas ça non ? », poruvant que même s’il ne disait rien, il écoutait et retenait toutes les conversations autour de lui (D’ailleurs il a lu mon blog il y a pas longtemps (coucou) et a trouvé ça super drôle que je l’appelle comme ça)
2 boites de sardines nature
3 portions de kiri (je n’en avait pas sous la main donc je l’ai remplacé par du yaourt à la grecque : ça passe)
3 c à s de chapelure fine
2 c à c de miel
De la ciboulette hachée
sel, poivre
Vider l’huile des sardines, les écraser à la fourchette au fond
d’un saladier. Ajouter le kiri, le miel, la chapelure et les
épices. Mélanger.
Former des boulettes avec la main, les rouler dans la ciboulette et les
mettre au frais jusqu’au moment de servir.
Grönsaksbollar : Les boulettes de lentilles comme chez Ikea (Trouvé par ici)
Je vais être honnête avec toi, j’ai failli créer le tag « Ikea » mais je me suis dit que ce n’était pas trés pertinent politiquement (ou j’ai eu honte). Parce que oui, c’est les boulettes végés de chez Ikea ! Elles sont vachement bonnes, hyper moelleuses, et tu peux un peu les assaisoner à ta manière. C’est bon avec une sauce tomate, u pesto (on en a toujours quelques doses congelées maison ici) ou de la moutarde, enfin avec une petite sauce quoi. Dans des pâtes ou de la salade c’est top aussi, et c’est plein de bonnes protéines !
200 g de lentilles vertes
1/2 oignon
1 échalote
1 petite carotte
3 c à s de farine
1 oeuf ou 2 c à s de graines de lin moulues (version vegan)
sel, poivre, épices de ton choix (j’ai mis un peu de ras-al-hanout, mon chouchou du moment)
Huile de friture
Faire tremper les lentilles minimum 2h (la nuit précédente, c’est le top). Egoutter, et faire cuire dans un grand volume d’eau salée ; plus les lentilles ont trempé, moins elles mettront de temps à cuire (10 minutes pour moi). Egoutter, réserver.
Pendant ce temps, éplucher et émincer l’oignon et l’échalote. Faire revenir dans une poêle avec un peu de matière grasse jusqu’à ce qu’ils soient transparents. Ajouter aux lentilles. Eplucher et raper la carotte, ajouter avec la farine, l’oeur ou les graines de lin, sel, poivre et épices selon tes goûts pour relever un peu.
Mixer le tout grossièrement, la purée ne doit pas être complétement lisse. Si tu utilises des graines de lin, laisser reposer une dizaine de minutes. Si la pâte est trop liquide, ajouter de la farine.
Faire chauffer une poêle avec de l’huile de friture, former des boulettes (la pâte colle, au pire tu peux les rouler dans la farine (comme c’est drôle) mais perso j’ai pas trouvé ça nécessaire) et les faire cuire sur toutes les faces. Les placer au fur et à mesure sur du papier absorbant pour éponger l’excés d’huile.
L’été dernier, quand je suis allée à Paris, lors d’un changement épique (non) à Montparnasse, j’en ai profité pour passer chez Kayser et goûter le fameux financier aux framboises dont j’avais tant entendu parler quand je faisais mon stage à Paris il y a deux ans (« une tuerie calorique trop trop TROP bon », en gros). C’était effectivement une tuerie calorique et effectivement trop bon. Mais en fait… ça avait exactement le même goût que le gateau de chez ma grand-mère (Dézo).
Du coup je me suis dit que si ma grand-mère faisait des gateaux aussi bon que chez Kayser, ça valait plus le coup. Et aussi que je devais absolument récupérer la recette ; du coup, quand Marron m’a réclamé un gateau aux framboises, j’ai sauté sur l’occasion de le refaire. Chez ma grand-mère, on allait directement ceuillir les framboises dans le jardin (et on mangeait la moitié au passage), ici j’ai dû me contenter de carrefour city et de framboises surgelées mais il était quand même super bon, il faut juste mettre un peu plus de sucre du coup.
Pour faire simple, et pour balancer encore plus de fleurs métaphoriques sur moi-même et sur ce gateau, c’est mon gateau préféré, je le demandais à tous mes anniversaires. Framboises + amandes c’est un mélange gagnant classique, mais là le gateau est moelleux, fondant, tout en restant pas trop dense parce que peu épais…
Je cherchais une solution pour utiliser les restes de frangipane de la galette des rois, ce qui est plus ou moins la raison de la naissance de 3/4 des recettes ici, finir ce qu’il reste des recettes précédentes (Mais je te remets la recette de la frangipane au cas où).
La tarte est super bonne, c’est une bonne association des deux goûts, mes fréres ont adoré ! Si tu as une pâte et la frangipane de prête, c’est plutôt rapide.
Si certains sont des inconditionnels des pâte carbos, chez moi, la clé du succès, c’était les pâtes au pesto. Mes frères et moi sommes des grands fans, et parfois je peux passer des heures à faire un délicieux petit plat sophistiqué… et finalement craquer sur des pâtes au pesto.
Seulement, ce truc ça coute cher, du coup je me suis mise à le faire maison, et de plus en plus tester des variantes un peu bizarres, style avec des épinards, de la roquette, des trucs moins chers que le basilic…
Et puis le pesto, c’est super comme base de tarte, comme dans mes tartes tatins chévre pesto courgettes,
ou dans les salades, et puis ça se congéle bien, donc tu peux le faire
en grande quantité et le décongeler en dernière minute parce qu’il ne te
reste plus rien dans le frigo et qu’il est 23h…
Voilà donc mes versions préférées, à décliner comme tu veux.
La recette de base du pesto
Un bouquet de basilic
1 poignée de pignons de pin
2 c à s de parmesan rapé
1 c à s d’eau
1 c à s d’huile d’olive
1 gousse d’ail
Sel, poivre
Bah. Tu mixes tout, et tu rectifie l’assaisonnement si nécessaire. Si la sauce n’est pas assez crémeuse, la clé c’est de rajouter de l’eau et pas de l’huile ! Voilà.
Pesto de fanes de radis
Les fanes d’une botte de radis
1 poignée de noix de cajou non salées
2 c à s de parmesan rapé
1 c à s d’eau
1 c à s d’huile d’olive
1 gousse d’ail
Sel, poivre
Mettre tout dans le mixer.
You’re welcome.
Pesto d’amandes
1 poignée d’amandes
1 c à s de parmesan rapé
1 c à s d’eau
1 c à s d’huile d’olive
1 gousse d’ail
Sel, poivre
Tu mixes le tout ! Cette recette est particulièrement pratique parce qu’elle ne nécessite
rien de frais, tu peux donc vraiment t’en sortir avec les fins de frigo.
Pesto de petits pois à la feta
150 g de petits pois cuits
40 g de feta
20 g de pignons de pin
1 c à c de parmesan rapé
1 c à s d’eau
1 c à s d’huile d’olive
1 gousse d’ail
Sel, poivre
Je t’explique même plus, t’as compris le principe. Ce pesto là est particuliéremnt doux, et parfait pour des tartines ou des fonds de tartes.
Et puis pesto d’épinards ou de roquette, de pistaches…
Lorsque les filles ont vu mes galettes (parce que je suis une fifolle, j’en ai fait 2 d’un coup), elles ont eu un petit moment de crainte ; « euh elles sont à quoi tes galettes… normales hein, frangipane ? » Mais même si j’adore les tests chelous dans plein d’autres plats, les galettes des rois, c’est sacré, c’est frangipane, rien au chocolat, à la vanille, au speculoos ou autre.
Du coup, cette recette n’a rien d’original sur la blogosphére, mais elle est super bonne, et coûte beaucoup moins cher que chez le boulanger. Au final, c’est pas trop long (il sufffit jusqte de s’y prendre en avance pour la frangipane) et si comme moi tu es une flemasse et que tu ne fais pas ta pâte feuilletée, elle est plutôt facile ! Elle a été testée par de multiples audiences, et toutes ont beaucoup aimé, donc c’est pré-validé.
Merci à Marron pour sa fabuleuse couronne, même si t’as oublié de prendre les photos de la galette découpée, je t’aime quand même <3
Pour la crème patissière :
15 cl de lait
Une gousse de vanille ou 1 c à c d’extrait de vanille
1 jaune d’oeuf
20 g de farine
20 g de sucre blanc
Pour la crème d’amandes :
75 g de sucre glace
75 g d’amandes en poudre
60 g de beurre pommade
1 oeuf
1 cà c de rhum (optionnel)
Une pincée de sel
Pour le montage :
2 pâtes feuilletées
1 jaune d’oeuf (j’en profite pour rappeler que les blancs se congélent, jusqu’à en avoir assez pour faire des gateaux super exigeants style gateau des anges. Perso j’en suis à 9 blancs d’oeufs. Bientôt)
Un peu de lait
Sucre glace
1 fêve (Alors attention attention, petite astuce de pauvre qui n’a pas de fève : j’ai un ami dont la mère met toujours une pièce de 2€ comme fève pour la première galette de l’année. Moi j’ai mis une pièce de 2c. Bon. En gros, tu stérilise ta pièce et c’est tout bon)
Préparer d’abord la crème patissière : Mettre le lait dans une casserole avec la gousse de vanille ouverte en deux. Faire chauffer à feu doux.
Dans un saladier, blanchir le jaune d’oeuf avec le sucre. Ajouter la farine au fouet. Retirer la gousse de vanille du lait chaud et le verser en filet dans le saladier sans cesser de mélanger.
Remettre le tout dans la casserole et faire chauffer à feu doux en mélangeant sans cesse au fouet : le mélange va peu à peu épaissir.
Une fois que la texture est bonne, mettre dans un bol, filmer et laisser refroidir complètement au frigo (la crème patissière et la crème d’amandes doivent être vraiment froides).
La crème d’amandes donc : Le beurre pommade doit vraiment être complètement mou, sans morceaux, et pouvoir se fouetter. Ajouter le sucre glace au beurre (plutôt à la spatule maintenant, pour éviter de mettre trop d’air dans la crème), puis la poudre d’amandes et la pincée de sel (ça change tout). La crème doit être homogène. Incorporer l’oeuf, et le rhum si vous en mettez (on avait que du gin dans les restes du nouvel an, du coup j’ai passé cette étape).
Mettre dans un bol, filmer et laisser 30min au frigo.
Le montage : Préchauffer le four à 180°c.
En gros la frangipane c’est pas compliqué. 250 g de crème d’amandes et 100 g de crème patissière à mélanger : normalement tu as tout pile ça avec cette recette (bon à 10 g près ça va). Bien mélanger.
Etaler une pâte feuilletée sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé. Remplir de frangipane en laissant 2-3 centimétres vides au bord, soit à la poche à douille, soit à la cuillière si comme moi tu n’as pas de matos. Placer la fève, plutôt loin du centre pour minimiser les chances de tomber dessus en découpant.
Badigeonner les bords avec de l’eau.
Etaler la deuxième pâte, la badigeonner entièrement d’eau et la placer sur la première avec le coté moullié à l’intérieur. Bien souder les bords. Dessiner des motifs avec un petit couteau, en faisant attention de ne pas percer la pâte. Mélanger le jaune d’oeuf avec un peu de lait et badigeonner la galette. Saupoudrer de sucre glace.
Enfourner pour 35-40 min, en protégeant la galette d’une feuille de papier alu si elle commence à trop dorer.
Servir tiède, et faire gaffe à ne pas manger la pièce de 2c. Si vous faites la galette avec des enfants de 5 et 8 ans, ce qui était mon cas avec les gamins que je garde le mercredi, n’oubliez pas de rappeler à celui qui n’a pas eu la fève (c’est dramatique ces choses là), qu’il a encore 80 ans de galettes, multiplié par au moins 3 galettes par an (avec papi, mamie, maman, papa, l’école…) pour se rattraper. Ca sauve une aprés-midi.
Comme souvent dans mes expériences culinaires, il y avait des restes, et j’ai bidouillé. Aprés mes pancakes au potimarron, j’ai congelé ce qui me restait de purée et aprés les gnudis, j’avais bien envie de gnocchis… Enfin en vrai, j’ai pas eu l’idée tout de suite, mais comme toute nordiste qui se respecte, j’écoute les radios belges, et Classic 21 a une rubrique cuisine. J’avais noté vite fait leur idée de faire des gnocchis au potimarron avec quelques amaretti dans la pâte, et me voilà partie.
Autant te prévenir, les gnocchis, c’est un peu long, voire même trés long, mais c’est franchement coule et ça change des gnocchis habituels !
Ce week end, il y a 4 anniversaires, mais pas assez de sous / temps pour faire 4 gateaux… J’ai donc fait au mieux, en respectant les demandes des principaux intéressés… Et on a bouffé des gateaux et des pates toute la semaine.
Mais au final, une seule de ces recettes était (de mon avis) assez bien pour être publiée… Car oui, je fais un tri dans tout ce que je cuisine, même si on dirait pas ! (par exemple le potiron au reblochon de cette semaine… Bof). J’ai donc fouillé dans mes recettes pour trouver « du chocolat« .