Cette recette, trouvée sur Gastelovore, c’est celle de la pâte à tartiner utilisée pour finir mes placards avant de quitter mon appart’ parisien… Alors si tu cherches un substitut de Nutella (recette actuellement en cours de recherche pour éviter l’huile de palme), c’est pas ça, mais c’est délicieux quand même ! Le goût ici est plus fort, avec un chocolat plus noir et un final où on sent bien le sésame…
À NY, je commence à recevoir des visites et à faire tous les trucs touristiques… je cuisine toujours autant, mais bientôt j’arriverais à bout de mes photos prises en France et je vais retomber dans l’époque où j’écrivais pour le blog en Espagne, avec une vaisselle super moche, aucune lumière et aucun moyen de faire des photos potables ! En bref, je m’en excuse d’avance…
La Nice cream, c’est la glace végane, et celle ci est la plus facile du monde car elle ne contient qu’un ingrédient… une banane trop mûre.
Dit comme ça, c’est pas très engageant, mais c’est délicieux, pas cher et plutôt sain ! Pas de sorbetière, donc, mais un bon mixeur, et pas un mixeur plongeant. À part ça, zéro complexité.
Je t’avais déjà parlé de la verveine du jardin de ma tante (on dirait le titre d’un roman de Proust). Cette année, malheureusement, je n’ai pas pu avoir ma cargaison habituelle, mais j’ai profité de ce qui me restait avant de déménager de Paris, en l’utilisant dans cette recette super simple (trouvée sur Gastelovore, dont les titres sont toujours aussi inspirants, ici, « les pêches savantes »), qui permet de faire un dessert un peu fancy avec trois fois rien. Et pour le coup, je me retrouve en effet avec trois fois rien (pour cuisiner, je ne parle pas de mon assurance maladie, même si on pourrait en parler de cette blague) aux États-Unis. Je ne voulais rien acheter et me contenter de ce qui était fourni dans ma maison (il y a tout de même un blender et un extracteur de jus dernier cri), mais j’ai craqué et j’ai acheté un batteur à oeufs, une balance (les cups, cette invention incompréhensible) et un unique plat pour tous mes gâteaux à venir (attends toi à le voir beaucoup sur les photos). De même, je n’arrive toujours pas à trouver certains ingrédients (adieu crème fleurette) même si j’en découvre des nouveaux (coucou le beurre de macadamia), et si certains sont beaucoup moins chers (les oléagineux) d’autres le sont beaucoup plus (j’ai trouvé du vrai beurre salé qui coûte un rein mais je ne regrette rien). Bref, les États-Unis, une découverte culinaire permanente.
Depuis que mon père a déménagé, il a un enfin un jardin. Pas un très gros jardin, mais il s’en occupe minutieusement ; il coupe même la pelouse au ciseau (véridique) ! Récemment, le pavot de ce fameux jardin est arrivé à maturité, donc on a pu récupérer les graines. Du coup j’ai gagné un petit pot de pavot.
Je vais être totalement honnête : on a d’abord regardé sur Internet comment faire de l’opium (avec mon père, oui). Sache donc que l’opium ne se fait pas avec le même pavot que celui qui produit des graines de pavot comestibles. Too bad. J’ai donc dû réfléchir à comment le manger.
J’ai très vite pensé au lemon curd de Beau à la louche, adapté avec ma recette habituelle : une tuerie ! Sur des tartines, une brioche, au petit dej, sur une tarte… je te donnerai des idées d’utilisation plus tard, mais il se garde environ une semaine au frais ou se congèle. J’ai également fait une verrine très facile, avec du fromage blanc, des pêches et du pavot, qui fait un dessert super rapide et génial pour l’été !
Comment ai-je pu vivre aussi longtemps sans connaître cette recette si facile et si délicieuse ? J’ai trouvé cette idée géniale sur Régal de Paresse, un blog que j’ai découvert il y a peu et que je vous recommande vivement. Cuire la mangue, c’est super facile et ça fait vraiment ressortir le sucre et la saveur du fruit, qui est juste délicieux comme ça !
Au moment où j’écris cet article, je prépare mes examens de l’année : à part du sport, des courses, de la cuisine et des lessives, je ne fais pas grand chose à part travailler… Donc je m’offre des petits réconforts avec ce genre de dessert sain et rapide (et du dahl aussi, qui a toujours été et sera toujours ma bouffe de remonte moral). Et après mes examens, comme chaque année, vient mon anniversaire, alors je suis déjà en train de réfléchir à ce que je vais préparer de bon…
Est-ce que c’est un peu bullshit de faire une recette là dessus ? Pas tellement parce que je l’ai faite plusieurs fois, et qu’à chaque fois elle a eu beaucoup de succès ! » Quoi, il y a juste ça ? Que des fruits, pas de sucre ? » Eh oui, pas 10 000 fruits différents, pas de sucre en plus, éventuellement un peu de citron vert ou de menthe… Mais attention sur le choix des fruits, qui doivent être bien mûrs ! J’ai trouvé cette idée fabuleuse sur Beau à la louche, et je t’invite à tester avec les beaux jours qui arrivent.
Pour 4 personnes :
2 mangues
250 g de framboises
Éplucher la mangue, enlever le noyau et détailler en petits cubes. Mélanger avec les framboises lavées. Éventuellement, ajouter un peu de citron vert ou de menthe. Conserver au frais avant de manger.
Ok, c’est un peu un article « trucs et astuces » plutôt qu’une vraie recette (un peu comme pour les barbeuc). Mais j’ai été choquée du nombre de personnes qui ne savaient pas qu’on pouvait manger des châtaignes grillées sans avoir de cheminée fonctionnelle. Alors je viens à ton secours.
Déjà : ne confonds pas châtaignes et marrons. Je t’épargne la peine de taper sur google « Comment différencier châtaignes et marrons », je l’ai fait pour toi (j’assume). En gros, la châtaignes, y’en a plusieurs dans la bogue, et marrons un seul. Perso, j’en ai eu un tas au boulot, ou quelqu’un a mis en libre service des châtaignes de son jardin, donc comme y’avait pas la bogue, j’ai fait aveuglément confiance à cette bonne âme (et pour l’instant, je ne l’ai pas regretté).
Ensuite : super facile. Préchauffer ton four à 200°c, et sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé, met tes châtaignes incisées en croix des deux côtés. Enfourne pour 20-30 min. Laisse refroidir un peu avant d’enlever la coque grillée. Et dévore, en ayant l’impression d’être chez papa maman après une balade en forêt, et pas frigorifié dans ton appart parisien avec la pluie qui tombe.
Après avec partagé cette base de Granola, je voulais publier un truc un peu plus précis. Et puis avec du chocolat, soyons honnêtes. La râleuse que je suis n’est en effet jamais satisfaite des céréales au chocolat : soit c’est trop sucré, soit c’est des trucs estampillés régimes pas assez sucrés.
On est jamais mieux servis que par soi-même (dirait ma mère).
Donc, aller, prends ton courage à deux mains, autant te dire que c’est ultra facile, plus long que d’acheter tes céréales toutes faites, c’est sûr, mais après tu peux ajouter ce que tu veux ! Et pourquoi pas remplacer le chocolat noir par un autre chocolat, de la pralinoise, mélanger les chocolats… Mon truc à moi, c’est de mettre un peu de pépites de chocolat noir et de faire griller mes noisettes et amandes dans du cacao en poudre non sucré. C’est trop bon.
Après la version salée, voilà 15 idées de desserts pour les pique-niques d’été ! Alors qu’attend t-on du sucré à un pique nique ? Qu’il soit facile à transporter (adios cheesecakes, verrines, mousses, tout ce qui se garde au frais ou en contenants individuels), facile à manger (adios gâteaux coulants, tout ce qui a besoin de cuillères…), léger (on a déjà trop mangé…), et qu’il plaise à tout le monde (chocolat, fruits d’été et biscuits classiques et efficaces) !
N’hésite pas à me dire le prochain « 15 idées » qui te plairais !
Depuis que je suis rentrée du Japon, je te bassine un peu avec ça, je sais. Mais j’adore la bouffe japonaise telle qu’on la trouve en France (grosso merdo, si tu es en province, sushis & brochettes), et encore plus celle qu’on trouve au Japon. A tel point que là bas, je mangeais un truc différent à tous les repas, le bonheur.
Au niveau sucré, on connaît assez peu ce qui se mange au Japon, à part peut être les Dorayakis, quelques Mochis, et ici je t’ai déjà parlé des melon pan. En général, la base d’un dessert japonais, c’est du riz ou de la pâte de riz, du matcha et/ou de l’anko. L’anko c’est de la pâte sucrée de haricots rouges, les azukis. D’habitude, je l’achète toute faite en boîte dans des magasins spécialisés (rue Saint Anne à Paris, rue Jules Guesdes à Lille), mais comme je suis dans un processus de vidange de mes placards, j’ai décidé de cuisiner les azukis qu’il me restait.
Alors c’est long, très long. Pas compliqué du tout (tu fais cuire et tu mixes, grosso merdo) mais c’est long. Si tu as envie d’aventures, et de faire tes pâtisseries japonaises de zéro, lance toi, si tu n’aimes pas trop cuisiner et que tu veux juste prendre un dessert sympa ce soir… évite. Sinon c’est pas cher du tout, ça se congèle très bien, donc ça permet d’en avoir pas mal d’avance. J’ai trouvé toutes les explications par ici, sur le site de cuisine en bandoulière !
Petit point technique : il y a plusieurs styles d’anko. Tsubuan, où on utilise tout les azukis, et Koshian, où on utilise que la pulpe de ses haricots. Là, j’ai plutôt fait du Tsubuan (qui est plus grossier), mais si tu mixes bien ton anko, tu auras plutôt du Koshian.