Cette recette simplissime (oui, comme le livre, même si je l’ai pas lu) a été improvisée alors que mon petit-frère N°2 s’incrustait pour le déjeuner : je n’avais que 20 min et un frigo de bric et de broc pour faire un repas pour 4.
J’ai décongelé des petits pois pour faire ma purée de petits pois au gingembre et lait coco et j’ai improvisé ces petites tartelettes rapides pour aller avec. Si tu as des très très bonnes tomates, tu peux même te passer de sauce tomate mais vu que j’habite à Paris, ce n’est clairement pas mon cas…
Voilà quelques recettes que je gardais sous le coude depuis l’année dernière, pour te donner des idées pour l’automne ! La deuxième, au porc et aux pois-chiches, est un peu plus surprenante mais vraiment sympa, n’hésite pas à passer le pas !
Salade de potimarron rôti, endives rouges, pignons et fromage de chèvre
Couper en morceaux, épépiner et rôtir 1 potimarron à 180°c au four en 20 min. Ajouter 3 endives rouges lavées et coupées en tronçons, 2 c à c de pignons de pin et 50 g de fromage de chèvre frais en morceaux. Saler, poivrer et ajouter du vinaigre balsamique.
Salade de porc tiède, pois-chiches, pomme et salade
Faire revenir 1 oignon épluché et émincé. Une fois transparent, ajouter 100 g de viande de porc hachée avec 2 c à c de sauce soja, 1 c à c de sucre et un peu de poivre, et laisser revenir 5 minutes. Ajouter ensuite 1 poignée de pois-chiches déjà cuits et laisser 5 min de plus. Mélanger quelques poignées de salade (ou de kale) à 1 pomme épépinée et coupée en fines tranches, la viande et quelques graines de courge.
Salade de fruits avec roquefort
Laver 1 kaki et le couper en rondelles. Ajouter aux graines d’1/2 grenade, 1 avocat en morceaux, un mix de salade, 20 g de roquefort en morceaux et quelques noix de pécan grillées. Servir avec une vinaigrette à base de moutarde, vinaigre balsamique, huile d’olive, sel et poivre.
Cet été, j’ai un peu eu un coup de fouet niveau conscience écologique. Je pense faire pas mal d’efforts à mon niveau, mais je sais qu’il y a un élément sur lequel je peux vraiment m’améliorer : le végétarianisme.
Je ne mange pas trop de viande mais je ne me mets pas la pression quand je suis au resto, chez des amis ou à l’apéro, et j’en cuisine environ une fois par semaine, mais finalement ça monte vite… du coup j’ai décidé de faire des efforts en plus, et de m’autoriser de la viande uniquement une fois par semaine. Ce n’est bien sûr pas suffisant, mais c’est un premier pas. Il y a déjà beaucoup de recettes végétariennes ici mais du coup tu risques d’en voir de plus en plus, à commencer par celle-ci, qui est hyper rapide ! Des légumes au four, un bocal de haricots blancs mixés avec du pesto et c’est bon.
En ce moment, je me surprends à réver de rénovations. Depuis que j’ai rénové ma petite maison à Lille, je passe un temps fou sur les comptes de gens qui achètent des petites ruines à la campagne et les retapent seuls avec leurs proches. Je rêve d’une maison en Bretagne, là où j’allais chez mon grand-père, où moi et amis pourrions aller le week-end et les vacances, la retaper petit à petit, prendre l’apéro sur la terrasse en construction, dormir dans des tentes et se laver avec des seaux d’eau en attendant d’avoir compris comment marchait la tuyauterie (oui je sais, ça fait beaucoup). J’avoue, je regarde mêmes les annonces immobilières, en sachant bien que j’ai zéro budget, et je fais les plans dans ma tête des murs que j’abatterai et où je mettrais le dortoir pour les gosses (il paraît que j’ai une obssession malsaine pour les murs à abattre…)
En attendant, je vais juste en vacances, exactement au même endroit en Bretagne, et je matte les maisons en vrai en saoûlant mes cousins avec mes plans de rénovation sur 10 ans. Pendant ces vacances, comme toujours, on mange beaucoup, et dans la série » les plats d’été faciles pour les grandes tablées », il y a les tartes rustiques, et je t’en parle chaque année, mais en version sucrée, habituellement. Là, j’ai lancée la version d’été de l’année : oignons confits, tomates et parmesan. Tu fais une pâte, tu remplis de trucs, tu refermes les bords et le tour est joué.
Pour commencer l’année des vacances en B (nous n’avons que des destinations en B prévues), L. et moi partons voir ma pote I. à Barcelone ! Je suis déjà allée plusieurs fois à Barcelone, et je sais que malheureusement tout ne sera pas ouvert, mais j’ai hâte de découvrir la ville l’été, même si ça sera probablement sous 40 000°c. On a prévu des parcs d’attraction, de la mer, des tapas, de la rando, et un peu de visite. Personnellement, j’ai pour objectif de rentrer suffisemment bronzée pour rendre jaloux mes collégues, et c’est déjà bien suffisant.
Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait un article de salade, mais j’avais pas mal de recettes en attente dans les tiroirs, et en salade, j’ai la même stratégie qu’en habillement : si tu th’abilles/manges comme s’il faisait un grand soleil, le soleil viendra à toi. Et même si tu n’es pas fana de ce (faux) adage, jette un coup d’oeil, il y en a pour tous les goûts, avec une petite préférence de mon côté pour la salade chinoise de concombre et d’avocat…
Salade de fraises, concombres et pastéque
Laver, équeuter et couper 1 barquette de fraises en 4. Eplucher et couper 1 concombre en demi-cercles. Couper 1/4 de pastèque en petits cubes. Laver et hacher quelques feuilles de menthe. Saler, poivrer et ajouter un peu de vinaigre balsamique.
Salade de maïs, poulet et mûres
Couper en morceaux 2 escalopes de poulet, les faire revenir dans une poêle avec un peu de matière grasse, sel et poivre. Ajouter de la salade lavée, 400 g de maïs en boîte, 1 barquette demûres (ou de myrtilles), 1/2 oignon rougé épluché et émincé, quelques noix de pécan hachées et 100 g de feta émiettée. Assaisonner avec vinaigrette classique de moutarde, huile d’olive, vinaigre balsamique, sel et poivre.
Salade chinoise de concombre, avocat et oignon rouge
Laver, épucher et émincer 1 concombre. Enlever peau et noyau d’1 avocat et le couper en cubes. Ajouter 1/2 oignon rouge émincé finement. Faire la sauce avec 2 c à c de sauce soja, 2 c à c de vinaigre de riz, 1 c à c d’huile de sésame, 1 gousse d’ail épluchée et écrasée. Servir avec de la coriandre fraîche lavée et hachée et des graines de sésame.
Il n’y a rien de pire que de devoir faire un cadeau à quelqu’un qui a déjà quasiment tout, et qui, quand il veut quelque chose, se l’achète aussitôt (et en général, via amazon prime pour l’avoir dans la journée). Cela fait des jours et des jours que je fouillais le internet pour trouver un cadeau d’anniversaire pour L. (ça va, il ne lit jamais le blog, même quand j’essaie de le forcer, my secret is safe), et je sèchais complètement. Pour quelqu’un qui a tout, le bon plan est d’offrir un évènement mais malheureusement, en ce moment, tous les évènements sont annulés. Après moult recherches, j’ai quand même trouvé un concert, et bim, il arrive à ce moment derrière mon ordi et me dit « Oh super, je viens d’acheter des billets ! »
…
Bref, je n’était pas plus avancée, et en plus, j’avais reçu la deuxième dose de vaccin donc ma journée m’avait achevée, j’étais KO (je me suis couchée à 21h30, c’est pour dire). Du coup j’ai préparé le plat le plus simple de la Terre : j’ai ouvert un bocal, lavé des tomates, tout saupoudré d’épices et de fromage, même pas épluché l’ail et j’ai tout balancé au four. Le résultat était délicieux : l’ail en chemise fait beaucoup !
Après un an et demi de fermeture des frontières, la France s’est enfin réouverte aux étrangers (enfin pas à tous, mais là ça devient politique), et L. a pu me rejoindre en France. On a direct commandé à bouffer et commencé à regarder la saison 2 de Too hot to handle (depuis le temps qu’on l’attendait). Et comme souvent, en attendant la commande, j’ai cuisiné… de quoi déjeuner pour le lendemain.
L’avantage est que cette recette est globalement facile, il suffit de mélanger des ingrédients et de brûler des aubergines : jusque là c’est faisable. Evidemment, Ottolenghi bonifie le plat le plus simple, tu peux y aller les yeux fermés.
Ce week-end, nous nous sommes rassemblés avec mes potes de prépa. 10 ans d’amitié, 10 amis, une grande table ronde : c’était parti pour le G10. Le choix de Berck pour ce sommet internaional de la plus grande importance était controversé et ne fut pas notre meilleure décision (tricher tous ensemble aux DM de maths il y a dix ans, ça c’était une bonne décision), vu qu’il a plu non stop, mais qu’est-ce qu’on s’est marrés ! On a fait un barbeuc finalndais, on a essayé de se souvenir de tous les noms des 42 personnes de notre classe (avec les noms de famille, c’est pas facile), on a mangé plus de 2 kilos de pâtes, on s’est baignés au coucher du soleil, on a bu des bières et on a pas beaucoup dormi.
Le retour fut un peu violent : si notre week-end était un nutriscore, ce serait nutriscore E. Du coup, en rentrant, j’ai essayé de lever un peu le pied sur la bouffe grasse ; ces raviolis sont plutôt pas mal dans ce style, vu que la ricotta finalement c’est assez léger comme fromage, et qu’il y a plein de légumes. Le « façonnage » n’est vraiment pas compliqué et ça fait son petit effet !
Faire de la semoule de chou-fleur c’est chiant de base. Tu dois le râper, ça prend du temps et tu risques de te râper le doigt (true story). C’est pour ça que j’en faisais rarement, mais j’ai depuis découvert qu’on pouvait l’acheter toute faite en congelé ! Et c’est depuis devenu le repas hyper rapide du soir : tu peux le mettre même pas décongelé dans une poêle, avec un peu d’épices et de condiments que tu as toujours dans ton placard (et si ce n’est pas le cas, tu peux, c’est super pratique). Servi avec un peu de tofu et un oeuf mollet, c’est parfait.