Relativement sain (enfin j’essaie)

Galettes frites de petits pois et menthe, merci Ottolenghi

Quand je cuisine, il m’arrive souvent d’avoir la flemme de prendre des photos. Parfois, les conditions ne sont pas bonnes et la photo ressort moche ou floue. Parfois j’ai juste la flemme et faim. Donc régulièrement, je dois refaire des recettes juste pour les prendre en photo.

C’est le cas avec cette recette, trouvée dans un livre d’Ottolenghi, testée avec L. à Paris, refaite et ratée une première fois, puis réussie de nouveau ! Des galettes très moelleuses, qui peuvent être réalisées n’importe quand avec des petits pois congelés, et délicieuses dans des pitas, des naans ou juste un wrap avec une sauce fromage blanc/menthe, ou tahini/miel. Perso j’y ajoute souvent un oeuf mollet, un peu de feta ou de chèvre… Et c’est très facilement congelable !

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Pesto de coriandre et patates douces rôties

Tu connais ma passion pour le pesto (et les pâtes au pesto). Cette semaine, j’ai testé une nouvelle version, en ajoutant des fanes de radis (comme tu le sais je n’aime pas jeter les fanes) et en servant le tout est des patates douces : ça change, c’est sain et c’est bon.

En ce moment, j’écris mes articles pour le blog en re-regardant How I Met Your Mother. J’ai du mal à regarder des séries sans rien faire à côté, j’ai toujours plein de choses à faire et j’aime être occupée, donc je regarde souvent des séries que je connais déjà en faisant le ménage, la vaisselle, écrivant des articles… Et How I Met Your Mother reste ma préférée, toute l’essence de New York pour moi, et la série qui m’a permis d’apprendre l’anglais. Je retourne bientôt à New York d’ailleurs, dans la fournaise d’août, et j’aime avoir ces petits aperçus d’ici là…

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Jaunes d’oeufs marinés dans la sauce soja

Pour mon anniversaire, j’ai cuisiné un gâteau avec des blancs d’oeufs. Si les blancs non utilisés se congélent, ce n’est pas le cas des jaunes, j’étais donc bien embêtée ; après avoir tapé « que faire avec des jaunes d’oeufs » sur la toile mondiale, je suis tombée sur cette idée de jaune d’oeuf mariné et « cuit » dans la sauce soja. Évidemment, je me suis jetée dessus. Alors j’ai quand même réussi à casser un jaune sur deux dans la manoeuvre mais j’en ai fait trois qui étaient très réussis. Au niveau du goût on est plus proche de la sauce soja que de l’oeuf, mais la texture est super intéressante, un peu crémeuse. Le jaune est parfaitement cuit, donc pas d’inquiétude là dessus, même s’il faut que les oeufs soient bien frais ! C’est délicieux avec du riz ou sur du pain.

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Kuku iranien d’Ottolenghi

Récemment, mon père est parti en vacances en Iran. Il est rentré avec plein de trucs : des espèce de sucettes de sucre candi au safran, des petites baies à grignoter qui se sont avérées être de la Marie-Jeanne (et oui), un collier en turquoise, du safran, du safran et un peu de safran.

Perso, je me suis concentrée sur le safran et également les baies d’épine-vinette, que j’ai pû utiliser dans cette fabuleuse recette de gâteau d’aubergine d’Ottolenghi, super facile à découper en petits cubes pour un pique nique ou un tupperware. L. n’a pas voulu goûter parce que c’est trop bizarre pour un américain, mais j’ai adoré ! Pas pour tout le monde donc…

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Karniyarik, aubergines farcies à la turque

Pendant la canicule à Paris, je suis tombée malade. Une vraie bonne crève, le genre qui t’empêche à moitié de respirer, te donne des maux de tête affreux, te fais te coucher à 20h, se refile à tes collègues et fait dire à ta boss que tu peux rentrer chez toi si ça va pas.

Pendant la canicule à Paris, je portais donc une écharpe en laine.

Pour me sentir mieux, je me suis fait des petits plats bien chauds (oui), dont ce plat d’origine turc d’aubergine fourrée avec une farce d’agneau et de tomate. C’était bon.

Cet article est donc un cadeau aux enrhumés de cet été.

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Crumble de fenouil et tomates rôties d’Ottolenghi

Après ma tarte à base de fenouil, qui était une franche réussite, j’ai décidé de m’intéresser un peu plus à ce légume que je n’aime pas trop. Si je n’arrive toujours pas à le manger cru, j’ai trouvé une autre recette, qui ressemble un peu à mon crumble de l’été, d’Ottolenghi  évidemment, qui était délicieuse. J’ai zappé la crème dans le fenouil parce que je n’en avait pas et j’ai un peu simplifié la recette à ma sauce, évidemment (il fallait notamment du thym frais, introuvable). Cela m’a donné envie de cuisiner plus d’Ottolenghi ; j’ai ré-ouvert Plenty more, et la semaine prochaine sera uniquement consacrée à sa cuisine (et aux gâteaux parce que tout de même, c’est mes 25 ans).

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Tofu épicé d’Ottolenghi

Dans la suite de mon article sur que faire avec le tofu voilà une nouvelle recette, bien épicée, made in Ottolenghi : évidemment j’avais pas de citron noir, pas de tous les ingrédients qu’il fallait, donc je me suis arrangée, comme d’habitude.

De temps en temps, on me dit que mes recettes ont l’air trop compliquées, avec trop d’ingrédients, mais toutes les recettes sont faites pour être adaptées et personnellement je m’autorise beaucoup de libertés, même en patisserie où ça n’est pas conseillé… Il faut s’arranger avec ses placards (et sa conscience mais ça c’est un autre problème).

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Coulis d’épinards au citron confit

Comme j’en avais déjà parlé sur ce blog, mes deux anciennes colocs, Marron et Jaune, n’aimaient pas les épinards. Il y a un peu l’image des gamins qui détestent les épinards, et c’est un truc qui m’est revenu en tête quand j’étais aux États-Unis et que j’ai réalisé que ce n’était pas du tout le cas pour les américains, qui sont plutôt fans d’épinards mais qui détestent… les brocolis. Depuis, je me demande toujours si Popeye est célébre chez les américains ou juste chez les frenchies.

Bref, voilà donc une recette d’épinards super facile issue du livre de Cléa, une nouvelle façon de cuisiner les citrons confits salés que je fais régulièrement (d’autres idées par ici). Il suffit de cuire les épinards 5-10 min et de les mixer, cela donne un coulis chaud qui va très bien avec du riz ou des pâtes.

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Rouleaux de printemps multicolores et leur sauce à la cacahuète

Faire des rouleaux à base de feuilles de riz a pour moi un petit côté madeleine de Proust… Petite, je dévorais les Astrapi et leurs recettes pour enfants ; en plus d’avoir fait leur recette de Pommes bonne femme un nombre incalculable de fois, j’étais une grande fan de celle des rouleaux de printemps. J’en faisais de temps en temps avec ma nounou le mercredi, en prenant bien soin de séparer les miens des autres, parce que je n’aimais pas la menthe à l’époque (et c’est la raison pour laquelle j’utilise toujours un dentifrice à la fraise pour les moins de 5 ans, je le confesse).

C’est donc à moitié par nostalgie / à moitié pour frimer que j’ai testé cette recette. On va pas se mentir en effet sur le côté ultra instagrammable et assez cool d’avoir des rouleaux de printemps multicolores, d’autant que c’est même pas si compliquée que ça. Une fois que tu as choppé le coup de main, cela prend une quinzaine de minutes pour faire une dizaine de ces rouleaux qui sont super frais et qui font vraiment du bien pendant l’été. Pratiques pour un apéro ou plusieurs repas dans la semaine. Quant à la sauce, elle est hyper facile et rapide et vient de chez Clothilde, tu peux l’utiliser dans des tonnes de recettes différentes !

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Galettes de quinoa, patate douce, coriandre et épices

Dans ma folie de galettes et boulettes végés, j’ai fait fort la semaine dernière : j’en ai fait trois sortes différentes et ai mangé ça toute la semaine. Seulement, une seule recette a retenu mon attention… celle-ci (trouvée par ici). Des petites galettes moelleuses, qu’on peut facilement faire en grandes quantités et congeler (ce qui est un peu ce que je recherche en ce moment vu mon manque de temps).

En ce moment, je suis en vacances à New York avec L., et pour l’instant la chance ne me sourit pas trop : le temps est pourri (alors qu’il faisait canicule la semaine précédente et que je n’ai emporté que des robes d’été), et un hélicoptère s’est crashé à Midtown alors qu’on y déjeunait (et à quelques patés de maison de celui où travaille L.) Je me console en faisant le tour des cafés et pâtisseries New Yorkaises, comme toujours.

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