Enfin le moment de publier une de mes recettes fétiches depuis que j’ai commencé à cuisiner, il y a plus ou moins 10 ans (oh la vieillesse). Un crumble salé de courgettes fondantes, parfait avec la feta et la menthe !
Depuis mon retour de vacances, et la signature de l’appartement inespéré, c’est la grande période des cartons, des papiers, des angoisses et des to-do-list à rallonge. Comme j’aime me simplifier la vie, je fais également un désencombrement complet de tous mes trucs qui traînaient, et surtout de mes vêtements. Quelques changements de vaisselle seront inclus, donc tu risques même de le voir passer…
Grâce à mes parents, on s’est retrouvés avec plein de figues à utiliser d’urgence, probablement les dernières de la saison, et je voulais faire quelque chose de salé, comme la dernière fois… Alors si t’es -comme mes colocs- sceptique à l’idée de manger un clafoutis salé, change d’avis. C’est gras, et c’est bon.
Edit : J’ai refait cette recette, plusieurs années après, en corrigeant les quantités et en l’allégeant (et en refaisant les photos, tmtc). Depuis ce premier test, la combinaison figues bacon/jambon et fromage, est devenuemavie.
Je n’ai aucune originalité dans mes tartares. Je l’avoue. Je fais presque toujours du saumon avec des fruits et du citron, mais il faut avouer qu’en été, sous la chaleur, c’est la recette parfaite !
En effet, il a fallu rentrer à Paris pour retrouver le beau temps, après 5 jours de déluge en Bretagne, incluant le feu d’artifice, accompagné d’un DJ (?) pour le traditionnel fest noz du 15 août, sous la pluie. Heureusement, quand je vais en Bretagne en famille, le style est souvent sacrifié aux impératifs, c’est à dire : se protéger de la pluie, remettre ses vêtements mouillés sur la plage, ne pas mettre du sable partout, pouvoir manger beaucoup. Nous avons donc débarqué au DJ set puis au bar dans un habillage complexe de tongs, cirés, pulls et jeans trop grands. C’est comme ça qu’on reconnaît les vraies vacances en famille.
Avant de partir en vacances pour la Bretagne, voici un nouvel article de salades, avec plein d’idées pour tes tupperwares ou les pique-niques à venir. Profite bien !
Couper le citron en petits bouts, hacher la coriandre. Mélanger avec les bulots et le poivre.
Salade de betteraves rôties, vinaigrette de rhubarbe, gorgonzola et oignons
4 betteraves
50 g de gorgonzola
5 tiges de rhubarbe
2 c à s de vinaigre de cidre
1 c à c de sucre en poudre
1 c à s d’huile d’olive.
1/2 oignon rouge
Quelques poignées de mâche
1 c à c de mélasse de grenade
1 c à s de vinaigre balsamique
1 c à s de miel ou de sirop d’agave ou de sirop d’érable
Persil haché
Sel, poivre, piment, cumin
Préchauffer le four à 200°c. Enfourner les betteraves enrobées dans du papier aluminium et la rhubarbe épluchée et coupée en petits troçons arrosée du sucre en poudre. Retirer la rhubarbe au bout d’une quinzaine de minutes, quand elle est confite, mais laisser la betterave 30 min de plus. Une fois cuite, la laisser refroidir et la couper en petits morceaux.
Mixer la rhubarbe avec le vinaigre balsamique, le sel, piment, cumin et le poivre. Réserver.
Mélanger le vinaigre de cidre, la mélasse de grenade et le miel. Émincer les oignons en fines lamelles et les réserver dans le mélange au moins 30 min.
Mélanger la betterave, les oignons, la rhubarbe mixée, la mâche, le gorgonzola en petits morceaux et le persil.
Salade de quinoa, melon, fraises, betterave, mâche, chèvre
1/2 melon
2 grosses betteraves cuites
1/2 barquette de fraises
Quelques poignées de mâche
100 g de quinoa
50 g de chèvre frais
Sel, poivre
Cuire le quinoa. Égoutter et laisser refroidir.Épépiner le melon et le couper en cubes. Laver et équeuter les fraises, les couper en 4. Laver la mâche. Couper les betteraves en morceaux.
Ca y est, j’ai enfin testé l’avocat cuit. Je ne vais pas prétendre que ça a changé ma vie, mais c’est bien meilleur que ça en a l’air : enrobé de chapelure, il devient crouistillant et reste fondant à l’intérieur. De quoi réussir ces wraps hautement intagramables, qui en plus de ça sont délicieux et rapides à faire. Ca fait son petit effet au boulot honnêtement.
En ce moment je suis de retour à NY pour l’anniversaire de L. ; la température oscille entre insuportable et normalement chaud, mais cela nous a donné une excuse pour aller à la plage à Rockaway Beach. Car comme si New York n’était pas assez géniale comme ça, la plage est à 1h de métro (même si elle est évidemment bondé), et l’eau y est délicieuse… Bref, New York : 1, Paris : 0 (ou en tous cas, tant que je n’y aurait pas trouvé d’appartment)
Pour mon anniversaire, j’ai cuisiné un gâteau avec des blancs d’oeufs. Si les blancs non utilisés se congélent, ce n’est pas le cas des jaunes, j’étais donc bien embêtée ; après avoir tapé « que faire avec des jaunes d’oeufs » sur la toile mondiale, je suis tombée sur cette idée de jaune d’oeuf mariné et « cuit » dans la sauce soja. Évidemment, je me suis jetée dessus. Alors j’ai quand même réussi à casser un jaune sur deux dans la manoeuvre mais j’en ai fait trois qui étaient très réussis. Au niveau du goût on est plus proche de la sauce soja que de l’oeuf, mais la texture est super intéressante, un peu crémeuse. Le jaune est parfaitement cuit, donc pas d’inquiétude là dessus, même s’il faut que les oeufs soient bien frais ! C’est délicieux avec du riz ou sur du pain.
Après ma tarte à base de fenouil, qui était une franche réussite, j’ai décidé de m’intéresser un peu plus à ce légume que je n’aime pas trop. Si je n’arrive toujours pas à le manger cru, j’ai trouvé une autre recette, qui ressemble un peu à mon crumble de l’été, d’Ottolenghi évidemment, qui était délicieuse. J’ai zappé la crème dans le fenouil parce que je n’en avait pas et j’ai un peu simplifié la recette à ma sauce, évidemment (il fallait notamment du thym frais, introuvable). Cela m’a donné envie de cuisiner plus d’Ottolenghi ; j’ai ré-ouvert Plenty more, et la semaine prochaine sera uniquement consacrée à sa cuisine (et aux gâteaux parce que tout de même, c’est mes 25 ans).
Faire des rouleaux à base de feuilles de riz a pour moi un petit côté madeleine de Proust… Petite, je dévorais les Astrapi et leurs recettes pour enfants ; en plus d’avoir fait leur recette de Pommes bonne femme un nombre incalculable de fois, j’étais une grande fan de celle des rouleaux de printemps. J’en faisais de temps en temps avec ma nounou le mercredi, en prenant bien soin de séparer les miens des autres, parce que je n’aimais pas la menthe à l’époque (et c’est la raison pour laquelle j’utilise toujours un dentifrice à la fraise pour les moins de 5 ans, je le confesse).
C’est donc à moitié par nostalgie / à moitié pour frimer que j’ai testé cette recette. On va pas se mentir en effet sur le côté ultra instagrammable et assez cool d’avoir des rouleaux de printemps multicolores, d’autant que c’est même pas si compliquée que ça. Une fois que tu as choppé le coup de main, cela prend une quinzaine de minutes pour faire une dizaine de ces rouleaux qui sont super frais et qui font vraiment du bien pendant l’été. Pratiques pour un apéro ou plusieurs repas dans la semaine. Quant à la sauce, elle est hyper facile et rapide et vient de chez Clothilde, tu peux l’utiliser dans des tonnes de recettes différentes !
Je ne suis pas du tout une grande fan de fenouil. Mais comme pour toutes les choses que je n’aime pas trop, j’essaie de me forcer à en manger pour aimer, petit à petit. J’en avais mis dans une salade l’autre jour, et en voyant les grimaces que je faisais au déjeuner au travail, une collègue m’a dit « le mieux pour le fenouil, c’est de le rôtir avec du miel et de le mixer pour un fond de tarte ! » Ni une ni deux, je teste (enfin j’ai quand même attendu de rentrer chez moi).
C’est délicieux. Au lieu d’une base d’oeufs et de crème, on a une pâte légérement parfumée au fenouil et au miel… en plus léger en plus.
Mon cher blog a déjà survécu à plusieurs tentatives de piratage. En général, ce cher A. prend les choses en main, me prend l’ordi et fais plein de trucs que je ne comprends pas et bim ça marche.
La dernière fois, ça a été plus compliqué et j’ai bien failli perdre mon bébé.
Mais merci encore, A., tu as encore et toujours mon admiration éternelle (et je te dois une bière aussi).
Pendant que A. réparait les dégats à grand renforts de « wow c’est chaud », je préparais mes repas pour le reste de la semaine en faisant des aller-retours angoissés entre mon ordi et la cuisine… Du coup, pour moi, cette recette est étroitement liée à cet évènement, ce qu’elle ne mérite pas d’ailleurs, parce que c’est un peu la recette facile rapide qu’on kiffe bien, sucrée/salée, qui marche avec tout, et DONT LA MARINADE N’A PAS BESOIN DE REPOSER JE RÉPETE LA MARINADE N’A PAS BESOIN DE REPOSER.