Marron s’étant encore trompée en achetant un potiron au lieu de ce que je lui avait demandé, je me suis retrouvée à me creuser la tête pour savoir quoi en faire. J’ai uilisé la moitié quand mes parents sont venus pour faire un truc pas terrible (du coup je t’en parlerais pas), et l’autre moitié pour tester cette recette de Beau à la Louche. La recette de base se fait avec la plupart des courges…
Alors au départ, j’avais lu un article sur un blog sur un poulet thaï qui avait l’air top, et aprés j’ai improvisé avec les ingrédients que j’avais et au final j’ai fait n’importe quoi. Bon.
J’ai donc fait un poulet avec une base de lait coco et un mélange de deux sauces, une qui ressemblait un peu à du dhal, et une autre en caramel qui ressemblait un peu à de la sauce satay. J’ai mangé le tout ave du pain (un bagel plus précisement si tu veux tout savoir), c’était plus sympa qu’avec du riz au vu des deux sauces (y’en a là dedans).
2 blancs de poulet
1 oignon
1 gousse d’ail
40 cl de lait coco
3 c à s de sauce soja
1 c à s de sauce nuoc-mam
1 c à c de gingembre en poudre
1 c à c de vergeoise (ou sucre de canne)
2 c à c de purée de sésame
1 c à s de coriandre hachée
50 g de yaourt nature (type yaourt à la grecque)
1 c à c de pâte de curry verte
Couper le poulet en cubes. Le mettre dans un bol avec le lait coco, la pâte de curry et le yaourt. Bien mélanger et laisser reposer 1h au frigo (ok je l’ai mis que 20 min, mais 1h c’est mieux, même si ça va pas ruiner la recette).
Post-attente, éplucher et émincer l’oignon, éplucher et écraser l’ail. Mettre le tout dans une poele avec un peu d’huile d’olive (ou de sésame si tu as, c’est mieux). Laisser revenir à feu doux jusqu’à ce que l’oignon soit transparent, puis ajouter le poulet avec la marinade. Rajouter éventuellement un peu de curry, de curcuma et de paprika. Saler, poivrer, ajouter la coriandre. Laisser revenir une dizaine de minutes pour qu elle poulet soit cuit et que la sauce ait un peu épaissi.
Préparer le caramel : mettre la sauce soja, la sauce nuoc-mam, la vergeoise et le gingembre et la purée de sésame dans une petite casserole. Faire revenir à feu doux en mélangeant jusqu’à ce que se forme un caramel. Rajouter un peu d’eau si le résultat n’est pas assez liquide.
Servir le poulet avec ses deux sauces et du pain ou du riz pour accompagner.
Et oui, encore des coings (coin) ! Aprés ma tarte amandine de l’autre fois, il me restait plein de coings déjà cuits, et j’avais tout congelé en attendant une bonne idée. La bonne idée est arrivée sous forme de papilles et pupilles, et j’ai décongelé les coings et une part de ma pâte à tarte que je fais toujours en grosses proportions pour en avoir au congélo. Donc oui, c’est une pâte sablée, c’est vrai que pour les tartes tatins c’est souvent plus sympa la pâte feuilletée mais ça marche trés bien avec autre chose (et la pâte sablée c’est moins cher, surtout si tu la fait)
Rassure toi, comme toi, je n’avais aucune idée de ce qu’étaient les gnudis jusqu’à ce que je tombe sur ça. C’est des genres de raviolis sans pâte à base de ricotta d’origine toscane, au niveau de la texture ça fait un peu gnocchis / quenelles…
Aprés avoir monstrueusement raté et fait cramé un cake marbré avec les gamins que je baby sitte le mercredi, j’étais contente de me jeter sur un bon plat bien fat et, -ultime bonus- réussi.
C’est un peu long à former et à cuire mais c’est super bon, introuvable dans le commerce, moins chiant à faire que les raviolis normaux, et super bon avec une sauce tomate ou -comme moi- avec de la crème et encore un peu de parmesan.
Pour faire plaisir à une amie absolument fana de potiron et autres courges, et sur les conseils d’une autre amie férue de cuisine, qui m’envoie régulièrement des liens et des idées de recettes, j’ai décidé de tester recette de pancakes de l’ornithorynque pour notre déjeuner dominical avec les copains, et franchement, j’ai pas regretté.
Le goût du potimarron (vu que j’ai décidé de faire la recette avec du potimarron au lieu de potiron) et des épices se sent quand on le mange nature (et c’est délicieux) mais avec un peu de miel ou de sirop d’érable, on dirait un pancake normal, juste particulièrement moelleux ! Et il s’agit bien d’une recette sucrée (malgré ce qu’on pensé les gens au premier abord).
Cette recette peut également être faite avec du potiron, mais moi j’avais du potimarron sous la main du coup voilà (triste France). Par contre, le potiron se gorge plus d’eau, donc c’est important du coup de le cuire à la vapeur, alors que le potimarron tu peux cuire dans l’eau si tu veux.
Au niveau des quantités, j’ai doublé les doses et j’ai eu une vingtaine de pancakes, donc n’hésite pas à augmenter si tu attends beaucoup de gens, la pâte peut se garder un peu au frigo si tu veux en refaire le lendemain (par contre je sais pas trop si c’est intéressant de la congeler…)
Les gamins sont plutôt doués, ils sont nés le même jour à 7 ans d’intervalle. Du coup ça fait un double anniversaire, plein de grands-parents, un gros apéro et un double gateau. Et plein de testeurs pour moi…
Sauf que lorsque j’arrive le jour même pour faire la cuisine, je découvre un véritable carnage, des oeufs, de la farine partout, du caramel cramé et du lait plein le plan de travail : petit frère n°1 avait insisté pour faire le gateau. On a eu trés peur, surtout quand il m’a décrit comment il avait battu le oeufs en neige à la barbare.
Et bah résultat, c’était plutôt pas mal. Et j’ai quand même fait l’apéro. Et puis si tu veux tout savoir, je sais déà plus ce qu’ils ont eu comme cadeaux. Et les photos sont pas top-top parce que ma mère les as prises avec son appareil.
Sablés au poivre et noisettes
J’ai récupéré cette recette chez Clothilde, mais ils étaient plus sucrés que biscuits apéros, et en diminuant le sucre, ça marche pour tout, ils sont vraiment délicieux ! Ils ont disparus à toute vitesse.
100g de noisettes entières
200 g de farine semi-complète
70 g de flocons d’épautre ou d’avoine
90 g de vergeoise ou de sucre de canne
1 c à c de bicarbonate de sodium
1 pincée de sel
1/4 c à c de poivre
130 g de beurre froid en morceaux
2 c à s d’eau
Dans une poêle sans matiére grasse, faire revenir les noisettes entiéres. Si elles ont encore leur peau, elle va se retirer facilement avec un torchon pendant qu’elles sont encore chaudes. Les hâcher.
Mélanger les noisettes avec la farine, les flocons, le sucre, le bicarbonate, le sel et le poivre. Ajouter l’eau et le beurre en morceaux, et mélanger avec les mains jusqu’à former une boule, à mettre au frigo pendant une heure.
Préchauffer le four à 150°c.
Sortir la pâte et former des boules un peu plus grosses qu’une noix, à déposer sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.
Mettre au four 25 minutes jusqu’à ce
que les sablés soient blonds.
Pudding crémeux de Bourgogne
Ma mère n’est pas une grande cuisinière, mais parmi les choses qu’elle nous a appris, il y a (évidemment) son gateau préféré ; le pudding crémeux de Bourgogne, une sorte de créme brulée avec du caramel en gateau… J’admet, c’est pas top comme description, mais c’est vraiment bon, et ça change des gateaux au chocolat habituels.
4 oeufs
80 g de sucre + 50 g de sucre pour le caramel
80 g de beurre
80 g de farine
1/2 L de lait
1 gousse de vanille
2 c à s d’eau
Préchauffer le four à 180°c.
Dans une casserole, faire bouillir le lait, les 80 g de sucre et la gousse de vanille fendue. Attention, le lait c’est piégeux, ça frémit et 5s plus tard tu en as partout. Donc dés que ça bout, tu l’éloignes du feu et tu retires la gousse de vanille.
Séparer les blancs des jaunes et battre les blancs en neige.
Dans une autre casseole, faire fondre le beurre. Ajouter la farine et retirer du feu en mélangeant trés vite pour faire un roux (c’est comme pour la pâte à choux). La pâte doit se détacher des bords en formant une boule. Remettre à feu trés doux et incorporer peu à peu le lait jusqu’à ce que la pâte soit homogéne.
Verser la pâte sur les jaunes d’oeufs : il faut incorporer trés lentement pour éviter que les jaunes cuisent et fassent des bouts d’omelette. Incorporer ensuite les blancs en neige.
Faire le caramel : dans une petite casserole, mettre l’eau et les 50 g de sucre et faire chauffer à feu doux en remuant jusqu’à ce que le caramel se forme. (izi)
Beurrer un plat et verser le caramel au fond. Recouvrir de la pâte.
Je vais être honnête avec toi d’emblée : cette recette n’a pas vraiment fait l’unanimité. J’avais vu cette idée chez Clothilde, puis regardé un peu partout les recettes du genre avant de me lancer. Et en général quand j’en parle aux gens la réaction est d’abord franchement pas positive.
Malgré les préjugés, j’ai été personnellement plutôt conquise : le principe est de faire des gros makis mais sans le riz, ce qui gagne un temps fou et coûte beaucoup moins cher. Le résultat est très frais, et très croquant, en plus d’être adaptable, vegan et facile à faire. Donc remballe les idées pré-conçues, et viens tester.
Coucou les enfants ! Il y a peu, c’était monanniversairepasceluidetamère et du coup on a fait une (toute petite. Ou presque) soirée… Et qui dit soirée dit testeurs ! On a pu d’ailleurs déguster de nouveau le parfait flan pâtissier de Flo et le brownie de Clem, J’ATTENDS LA RECETTE. Et de mon coté, j’ai fait ma recette de gateau au chocolat favorite, tu sais celle qu’on ressort pour tout, et que je fais d’ailleurs à toutes mes soirées d’anniv, et j’ai tenté d es biscuits apéros.
Après une longue discussion avec petit frère n°3 (6 ans…) sur pourquoi ne pas manger de viande (ironique, après le Coronation Chicken, mais je fais quand même attention), j’ai décidé de leur concocter une petite mixture vegan avec tout ce qu’il faut de protéines etc… Je me suis donc baladée par là, un blog génial pour des bons repas complets.
Et les trois gamins ont aimé. Victoire pour le peuple. En vrai, c’est un super plat complet, nourrissant, vegan et sain !
Vous allez voir, cette recette ressemble beaucoup à celle du Poulet Victoria ; les deux ont été créees pour le couronnement de reines d’Angleterre (différentes, donc, si t’as suivi), icic, le couronnement de la reine Elizabeth en 1953 ! Cela fait un poulet sucré-salé, super bon. Comme pour le Poulet Victoria, j’enlève la mayonnaise, qui est vraiment en trop à mon goût…