Depuis mon voyage au Bénin et au Burkina Faso, je suis une grande afficionado des sandwichs à l’avocat. Là bas, les avocats sont tellement bons que juste tous seuls, écrasés avec des épices ou un tartare de tomates dans du bon pain, cela donne le meilleur des sandwichs. Personnellement, je fais aussi une version avocat/épices/comté qui est délicieuse.
Et puis, récemment, j’ai redécouvert le tartare d’algues. Ce mélange bizarre à tartiner, qu’on achète en magasin bio, un peu cher, qui est une petite tartinade très fraîche, un peu iodée mais pas trop. Le post de Clea sur le sujet m’a aidé à faire le lien, et voilà des petits sandwichs ultra faciles avec un guacamole des pauvres, du tartare d’algues et du chèvre frais.
Je reviens actuellement d’un week-end entre copains à Barcelone fort sympathique. Si tu suis ce blog depuis le début, que tu me connais bien ou que tu me stalke depuis des années, tu sais que j’ai passé une année à Salamanque, et depuis je n’étais pas retournée en Espagne. Cela m’a donc fait fort plaisir de re-parler espagnol, de retrouver les tapas et la sangria Don Simon (on ne se refait pas).
En visite chez une amie qui habite là bas, j’ai donc évidemment fait à manger une des soirées, avec un petit atelier de cuisine autour des naans et un classique et toujours très apprécié dahl à la courge. On a dévoré ça avec du houmous et du guacamole, mais je n’ai pas pu m’empêcher de me demander si on aurait pas pu faire plus léger et plus original… En rentrant chez moi, j’ai fouillé dans mes notes et mes marques pages et j’ai retrouvé cette recette de dip… Je me suis donc fait des wraps pour les tupperwares de la semaine : une recette super fraîche, qui change et qui est ultra simple et rapide si tu as un mixer (si tu n’en as pas, achètes en un, ça sauve la vie).
Je te l’avais promis, tu as crié, trépigné, pleuré et le voilà ! L’article pour t’aider à tout gérer pendant les fêtes de fin d’année. De rien. (Cadeau)
Tu n’es pas sans savoir (sauf si tu es nouveau. Coucou toi.) que je mange très peu de viande ; or, c’est ce qui compose souvent le repas de Noël. Des viandes ou poissons chers, que je cuisine rarement, ou encore du foie-gras, des huîtres… Donc plutôt que de te proposer une recette tristoune à base de poulet, je vais me contenter de te proposer des plats principaux végés, qui sont des suggestions d’accompagnement ou de plat principal si tu es végé/a mangé trop de foie-gras en entrée. Bon ap’ !
Chez moi, l’entrée c’est traditionnellement fois-gras et huîtres (qu’on mange avec du bon pain de campagne et du beurre salé (oui je sais c’est bizarre)) mais si tu veux faire un truc un peu plus original, voilà quelques idées.
Végé donc, si tu as suivi. Il y avait beaucoup de plats qui s’y prêtaient sur le blog, mais tout dépend de ton accompagnement, donc n’hésite pas à regarder dans l’index salé…
De notre côté, mon beau-père passe son CAP pâtisserie… donc autant te dire qu’on est servis niveau desserts et en plus on a plein de tests dans les jours qui précédent, un vrai bonheur. Si tu n’as pas cette chance, je t’ai fait une petite sélection, pas d’entremets -trop lourds- mais des trucs un peu classe quand même, et plutôt des fruits. Je ne suis pas très bûche, mais je t’ai quand même mis quelques idées…
La publication d’articles réguliers devient de plus en plus difficile ; je suis sous l’eau entre le freelance, l’université et le boulot, beaucoup de rendus et peu de temps. Du coup, en ce mois de novembre, je reste bosser à Paris et pleure loin de ma chère Lille. Ceci dit, malgré mon combat permanent contre les clichés sur le nord, il est vrai qu’il fait moins froid à Paris qu’à Lille à la même période… Mais déjà, c’est dû en partie à la pollution, ensuite je suis de mauvaise foi donc j’affirme haut et fort que je préfère quand il fait plus froid. On ressent mieux l’ambiance de Noël.
Tu admireras d’ailleurs mon magnifique pull « froid polaire, édition 2017 » sur la photo.
Transition super fluide vers le sujet principal de la photo : les trucs qui se mangent. Alors oui, la cuisine indienne, ce ne sont pas que des naans, des currys et des dahls, mais aussi plein d’autres trucs qu’on connaît pas forcément, par exemple ce plat à base d’aubergines grillées, qui ressemble un peu au caviar d’aubergines. Un plat parfumé, qui se mange chaud ou froid sur des tartines à l’apéro. Et ultra facile : couper en deux, cuire et mixer.
Depuis que j’ai repris ma vie d’étudiante (en alternance, hein), j’ai repris mes bonnes habitudes de rédiger mes articles en cours. Au grand désespoir de mes voisins de classe, qui se plaignent de la tentation que représentent toutes ses photos de bouffe. Sans parler des mes tupperwares du midi. Certains en profitent même pour me réclamer des tests et des recettes. Bande de rapaces.
Et ce fameux article qui génère tant de convoitises entre dans la série des galettes à la poêle avec des trucs dedans (comme les pudina paratha ou les naans, mais d’une autre origine), les Cong you bing, des crêpes chinoises à la ciboulette, un peu sèches, sont délicieuses pour accompagner un plat en sauce ou avec un peu de sauce soja.
Du gras, du gras, du gras (tu le vois sur la photo hein). Du bon pain à l’ail, plein de beurre et de fromage. Parfait pour l’apéro ou pour accompagner une soupe, et tout ce qu’il fallait pour une soirée Lilloise riche en nourriture, bière et discussions autour du feu (on a dansé aussi, on reste jeunes hein).
Petit bémol de cette recette : assez rapidement, le fromage durcit, donc il faut le manger vite. Limite, fais cuire tes pains un à un pour éviter que la fin durcisse avant que tes convives (ou toi tout seul, je ne te juge pas) y soient arrivés.
Ce n’est pas la première fois que je t’en parle, mais depuis un moment, j’essaie le kimchi maison. Tu sais, ce condiment super pimenté, ce chou fermenté coréen qu’ils servent non stop en Corée (même si tu achètes une bière). J’avais déjà essayé plusieurs fois, mais avec la recette de Piment Oiseau, j’ai trouvé le jackpot ! C’est un peu long mais ça se garde très très longtemps et qu’est ce que c’est bon… Je te donne des grosses proportions, n’hésite pas à diviser par deux !
Dimanche, nous avons fait un repas familial parisien, avec les cousins bretons délocalisés depuis peu à Paris. L’arrivée à Paris, pour moi c’est quelque chose d’assez difficile : quitter le rythme et la vie nocturne effrénée de province pour trouver les prix et les transports parisiens, ça mine le moral. Donc rien de tel qu’un repas en famille. Et quand on fait ça, j’aime bien faire des mézzés (comme ici).
Mettant cette fois-ci à profit le livre de cuisine de Clea, j’ai fait des falafels, que j’ai servi avec salade de crudités, sauce yaourt menthe, sauce tahini miel, chou rouge et kimchi (mais ça ça n’a pas de rapport. Bientôt je te donne ma recette d’ailleurs). Possibilité supplémentaire : l’accompagner de pitas, ou de naans au fromage ou de pudina paratha, pour le choc des cultures.
J’ai déjà fait des falafels, ici pas grande différence mais j’en profite pour tout te ré-expliquer. Très très simple, pratiquement aucun effort, mais beaucoup d’attente. Le truc le plus important, c’est d’utiliser des pois chiches SECS, et de les réhydrater et bien sécher avant de s’y mettre. Après, en gros, il suffit de mixer et de faire frire.
Je t’ai déjà parlé de ma passion pour les onigiris, ces délices japonais qui se croquent à toute heure de la journée, achetés à moins d’1 € dans un konbini. Eh bien il y a peu, j’ai découvert une variante, les Yaki Onigiris, des onigiris grillés, ici avec un beurre de miso, un peu de sésame et de la coriandre de mon balcon (nommé sobrement PNL). L’onigiri devient alors croustillant, un délice…
Après une fournée dévorée seule, j’ai servi ce qui restait à un dîner, après un samedi après midi passé à travailler notre rapport de stage final entre amis, agrémenté de quelques kir pour décompresser. C’était un dîner de restes avec des yaki onigiris japonais, des alokos burkinabés et de la moussaka grecque (recette à venir…). Voilà le délire.
Dans quelques jours, mon amie P. part pour 6 mois à New York. Malheureusement, après mon voyage de l’année dernière vers cette même destination, je n’aurais pas l’occasion d’aller la voir, et nos discussions livresques et nos repas vont me manquer. Nous avons donc organisé un apéro de départ en tête à tête, et j’ai cuisiné du houmous, un gâteau au chocolat et… ces noisettes à grignoter. J’ai été très agréablement surprise : des noisettes croustillantes, très rapides et faciles à préparer, vegan si on utilise du sirop d’érable ou d’agave, et qui peuvent se bidouiller avec les ingrédients du placard, et toutes les noix qu’on veut ! Une idée à retenir…
J’en profite pour signaler que mon rythme de publication va ralentir car je m’enfuis dès que possible en Bretagne, pour quelques jours de vacances volés pendant les week-end et les jours fériés…