Mes deuxdernières recettes d’udons étaient à la cacahuète, mais là je suis partie vers une base plus tradi peut-être, de sauce soja, et c’est un délice !
En ce moment, j’ai décidé de m’attaquer à faire de mon appart, composé d’un assemblage hétéroclites de meubles de nos précédents appartements, un tout un peu plus homogène. J’ai cousu de nouveaux rideaux, j’ai réparé et lavé les canapés, j’ai acheté de quoi tapisser nos meubles moches, j’ai viré la collection de figurines Macdo… J’ai hâte de voir le résultat final !
Je continue dans mes découvertes sur le nouvel an chinois avec ces tang yuan, qui apparemment sont censés être servis pour la fête des lanternes, qui clôt les festivités. La rondeur des boulettes symbolise la plénitude, la famille, la satisafaction des besoins (on a l’impression que je sais des choses de ouf mais j’ai regardé sur le internet). Ils peuvent être à la pâte de haricots rouges, pâte d’arachide ou pâte de sésame.
C’est la première fois que je me lance dans ce genre de recettes, mais maintenant que j’ai investi dans les ingrédients, je vais continuer ! Il faut préparer la farce un peu en avance, et surtout les manger tout de suite, parce que ça se réchauffe bofi bof. Le sésame noir a un petit côté peanut butter, avec un arrière goût un peu salé, et c’est délicieux !
Cela faisait presque longtemps que je n’avais pas parlé d’Ottolenghi, mais j’ai acheté un gros paquet de nouilles de riz et je ne savais pas quoi en faire… jusqu’à ce que je trouve cette recette ; j’ai twisté quelques éléments, rajouté des brocolis pour augmenter la dose de légumes et remplacé les haricots mungo par des fêves, plus faciles à trouver.
Le boulot est super intense en ce moment donc je cuisine un peu moins (d’où les recettes d’Ottolenghi qui sauvent) et surtout j’essaie d’avancer sur le best of, qui est un de mes gros projets de fin d’année ! J’ai hâte de te montrer tout ça…
Ca y est, c’est l’anniversaire du confinement… Je me suis réveillée l’autre jour et il faisait déjà jour car c’est le printemps, comme il y a un an, j’ai fait mon sport dans la cuisine et pas en salle comme depuis un an, j’ai travaillé chez moi comme il y a un an… Je me souviens surtout des bons souvenirs, le fait d’être confinés à quatre, puis à trois, ensemble, ce qui nous a clairement rapproché avec mes colocs, nos activités et soirées improvisées, nos fou rires, nos séries, les sims, cette sensation de temps infini… Depuis cette période exceptionnelle et incroyable, on est entrés dans un quotidien de restrictions où la fermeture des frontières, des salles, des bars et de… tout, est devenue notre quotidien. C’est un peu bizarre donc de repenser à catte periode et à comment elle on l’aurait vue si on avait su.
Bref, pour cet anniversaire un peu bizarre, je te propose une autre crêpe coréenne, après le kimchi pancake, à base d’oeufs, de pomme de terre, de légumes en batonnets et de sésame. C’est un délice à la fois fondant et croustillant, que je te recommande grandement, que tu sois en train de penser à l’année dernière ou non.
Maintenant que L. est de nouveau avec moi, je me remets à cuisiner des quantités astronomiques pour deux. Et s’il n’était pas fan de tofu, il commence – grâce à moi, j’espère ? – à l’apprécier, et cette sauce presque-satay y est pour beaucoup. Si tu fais partie des derniers réfractaires (malgré mon article sur le sujet), je ne peux que te conseiller ce plat : des nouilles avec beaucoup de légumes, du tofu, des cacahuètes croustillantes au sésame, des herbes fraiches et du concombre. Combo parfait.
Et si vraiment tu n’es pas chaud pour le tofu, et que tu n’es pas vegan ou végé, tu peux le remplacer par du poulet sans changer le reste de la recette ou l’assaisonnement.
J’avais réalisé cette recette pour ma maître d’apprentissage il y a quelques mois, afin de la remercier de tout ce qu’elle avait fait pour moi (et j’avais fait des chubbies pour ma deuxième maître d’apprentissage, et des patiences pour le reste du service (vu qu’ils avaient été patients. Qu’est ce qu’on rigole) : en plein été, j’avais peur que tout fonde et s’agglutine, mais ces petites écorces garnies avaient survécu et avaient eu énormément de succès. Tous ont cru que je les avais achetées chez un chocolatier, et ça avait l’air compliqué alors que pas du tout ! C’est la recette la plus simple du monde ! Il suffit de faire fondre du chocolat et de mettre des trucs dessus !
Comme je suis quelqu’un de bien, je te partage donc la technique pour faire ce cadeau fancy et personnalisé (tu mets ce que tu veux dessus) : le mieux c’est de servir ces écorces dans un petit sachet transparent avec un joli ruban…
J’adore faire des chaussons de légumes, c’est parfait à emmener dans un tupperware le midi et à manger avec une soupe le soir, et souvent il reste juste assez de farce pour manger avec un peu de riz ou des pâtes ! Le mélange ricotta aubergines est évidemment un classique incontournable et délicieux, et associé au sésame c’est encore meilleur. J’ai trouvé la recette par ici, et la pâte a l’avantage d’être végane ! À toi de changer les goûts comme tu veux (avec un peu de potimarron ça doit être parfait pour l’hiver).
Cette recette, trouvée sur Gastelovore, c’est celle de la pâte à tartiner utilisée pour finir mes placards avant de quitter mon appart’ parisien… Alors si tu cherches un substitut de Nutella (recette actuellement en cours de recherche pour éviter l’huile de palme), c’est pas ça, mais c’est délicieux quand même ! Le goût ici est plus fort, avec un chocolat plus noir et un final où on sent bien le sésame…
À NY, je commence à recevoir des visites et à faire tous les trucs touristiques… je cuisine toujours autant, mais bientôt j’arriverais à bout de mes photos prises en France et je vais retomber dans l’époque où j’écrivais pour le blog en Espagne, avec une vaisselle super moche, aucune lumière et aucun moyen de faire des photos potables ! En bref, je m’en excuse d’avance…
J’ai une passion pour le miso. Ce condiment japonais arrive à tout relever, même des bêteslégumes à la poêle. J’ai donc toujours un pot de miso ouvert dans le frigo, toujours le même, que j’achète à Tang frères, et qu’en général je dévore avec des crudités (et notamment des carottes à croquer comme un lapin, ce qui te donne une petite idée de mon niveau de maturité).
Arrive l’élément perturbateur de mon récit : Tang frères était fermé, et j’étais à court de miso. Je suis donc allée dans une boutique bio, et j’ai acheté un autre type de miso, du shiromiso, miso blanc. Sauf que cela n’a pas du tout le même goût que mon miso habituel et ça ne va pas du tout avec des crudités !
Bref, me voilà avec un pot de miso entamé et aucune idée de comment l’utiliser. Heureusement, j’ai trouvé l’idée du siècle sur Cuisine en bandoulière : en faire un gâteau. Un gâteau ultra moelleux et délicatement parfumé d’un je ne sais quoi difficile à identifier… Je l’ai amené à notre rendu de projet pour le partager avec ma classe et bien finir l’année (que j’avais d’ailleurs entamée avec un quatre-quart au sarrasin et au chocolat #passionbouffe). Ils ont tous adoré !
Kézako ? N’aie crainte, je te prépare un article sur comment cuisiner tofu, seitan, tempeh et autres bizarreries, bref les protéines végétales trouvables en magasin bio qui ne font pas forcément hyper envie mais qui, bien cuisinées, sont délicieuses !
Voici donc mon dernier test en la matière : trouvée sur ce blog, cette recette est vraiment facile et permet de cuisiner ce genre de protéines végétales sans devoir les faire mariner à l’avance, parfait donc en cas de manque de temps. Cela permet un bon shot de protéines si, comme moi, tu as décidé de faire sortir le sportif caché en toi… En effet, récemment, j’ai traîné ma collégue J. à… un cours de cross fit.
Est-ce que nous avons souffert ? Oui. Est-ce qu’elle a passé une partie de la séance à m’insulter ? Oui. Est-ce que j’ai adoré et elle a détesté ? Oui. Est-ce qu’on y retournera ? Pas tout de suite. Est-ce que les questions/réponses comme ça c’est chiant ? Probablement.