Pour finir l’été en beauté, une recette de pied-noir super facile, un peu longue à cuire mais tellement simple ! La frita c’est tout simplement des tomates, des poivrons et des oignons confits, et cela se mange chaude ou froide, sur une tartine, une pizza, avec des œufs…
De mon côté, je suis en plein dans les galères administratives, avec les inscriptions à la fac, les papiers du boulot, la mutuelle, l’assurance et surtout mon cambriolage ! Même si j’ai retrouvé un ordi (et que je ne suis plus obligée d’attendre d’être chez mes parents ou des amis pour publier), je n’ai toujours pas d’appareil photo, mais je ne renonce pas, donc j’espère que tu pardonneras la qualité de mes photos…
Ce n’est pas la première fois que je t’en parle, mais depuis un moment, j’essaie le kimchi maison. Tu sais, ce condiment super pimenté, ce chou fermenté coréen qu’ils servent non stop en Corée (même si tu achètes une bière). J’avais déjà essayé plusieurs fois, mais avec la recette de Piment Oiseau, j’ai trouvé le jackpot ! C’est un peu long mais ça se garde très très longtemps et qu’est ce que c’est bon… Je te donne des grosses proportions, n’hésite pas à diviser par deux !
Dimanche, nous avons fait un repas familial parisien, avec les cousins bretons délocalisés depuis peu à Paris. L’arrivée à Paris, pour moi c’est quelque chose d’assez difficile : quitter le rythme et la vie nocturne effrénée de province pour trouver les prix et les transports parisiens, ça mine le moral. Donc rien de tel qu’un repas en famille. Et quand on fait ça, j’aime bien faire des mézzés (comme ici).
Mettant cette fois-ci à profit le livre de cuisine de Clea, j’ai fait des falafels, que j’ai servi avec salade de crudités, sauce yaourt menthe, sauce tahini miel, chou rouge et kimchi (mais ça ça n’a pas de rapport. Bientôt je te donne ma recette d’ailleurs). Possibilité supplémentaire : l’accompagner de pitas, ou de naans au fromage ou de pudina paratha, pour le choc des cultures.
J’ai déjà fait des falafels, ici pas grande différence mais j’en profite pour tout te ré-expliquer. Très très simple, pratiquement aucun effort, mais beaucoup d’attente. Le truc le plus important, c’est d’utiliser des pois chiches SECS, et de les réhydrater et bien sécher avant de s’y mettre. Après, en gros, il suffit de mixer et de faire frire.
Je n’ai pas été très présente ces derniers temps, et pour cause : je me suis fait cambrioler. Voilà, rien de très agréable, mais rien de très dramatique, sauf que mon appareil photo et mon ordinateur ne font désormais plus partie de ma vie. En attendant que l’assurance débloque le remboursement, je prends des photos sur mon téléphone et utilise un ordi de remplacement, mais j’ai été un peu occupée cette semaine avec assurance, agence, propriétaire, serrurier etc ! (autant te préciser que plus il y a d’intermédiaires, pire c’est).
Mais j’ai quand même cuisiné, déjà parce qu’il faut bien manger (#passionbouffe), ensuite parce que ça remonte le moral, surtout parce que je ne voulais pas rater les dernières figues. Je les fait souvent en salé, avec du bacon ou du jambon et du fromage (ici en clafoutis, en tarte et au four), et cette fois-ci je n’ai pas pu résister à l’idée absolument géniale de Cléa : faire les figues en linzertorte, avec une pâte absolument divine à la noisette. C’est un peu long mais le résultat en vaut la chandelle !
Un tartare ultra frais et coloré, pour finir l’été en beauté. J’en profite pour te rappeler que le tartare est complètement validé #recettedelaflemme, aussi appelée #izimoney : tu découpes les ingrédients, et tu mélanges ceux de la sauce. Voilà. Pour une autre idée de tartare facile mais plus branchée hiver cette fois-ci, je te renvoie à mon tartare saumon & poire, un délice !
La recette de base de Piment Oiseau préconisait le thon, mais j’en ai pas trouvé dans mon supermarché et mon salaire de stagiaire ne valide pas les poissonneries, surtout parisiennes. Donc va pour du saumon ! En parlant de stage, le mien est bientôt fini, et très vite, j’entamerai ma dernière année d’étude (7 ans, je dois vraiment aimer ça) en alternance ! Je t’en reparle très bientôt…
La caponata est une version scicilienne de la ratatouille où les légumes sont cuits avec du vinaigre et sans courgettes. Je vais être honnête avec toi, perso je reste fidèle à notre bonne vieille ratatouille. Mais ça change un peu, et en cet été maussade, ça amène un peu de soleil italien à Paris.
En parlant de vacances avortées, j’en suis réduite à récupérer des guides de voyage « pour plus tard » sans savoir si je pourrais les utiliser un de ces jours. Voilà. Pour l’instant, j’ai une bonne partie de l’Amérique latine (dans un an, je pars me faire un petit road trip, si tout va bien), la Mongolie, la côte pacifique des États-Unis et les sentiers de randonnées bretons. À suivre.
Sinon, petit update sur le site : je fais moins d’articles mais je refonds peu à peu le système des étiquettes, pour le simplifier et faire que tout soit plus facile à trouver. Par exemple, j’ai créé une étiquette poisson, j’ai unifié les recette de chef (salées et sucrées), j’ai séparé vegan sucré et salé, et tout a été simplifié dans le menu (c’est la raison pour laquelle un article sorti de nulle part fait l’inventaire des autres catégories, il sera aussi complété plus tard…). Bref, à suivre !
Lorsque je suis allée bruncher dans le jardin de L., j’ai tout de suite repéré les impressionnants plants d’orties… Lorsque je lui ai demandé si je pouvais en prendre, elle a éclaté de rire, avant de comprendre que j’étais sérieuse. Ses parents ont encore plus hallucinée lorsque je les ai remercié pour m’avoir permis de récolter. Eh oui, des orties. Non, cela ne pique pas la langue. Une fois cuit, les orties perdent leur pouvoir piquant et ont un peu un goût d’épinards, en fait… C’est délicieux, en plus d’être gratuit !
Alors attention pour les apprentis cueilleurs : évidemment, faites attention et portez des gants. Ensuite, prenez les de préférence dans un jardin domestique, et si vous êtes dans la nature, ne cueillez pas les plants bas !
Que faire de ma récolte ? Ma mère avait autrefois gagné la louche d’or de la fête de la soupe avec une soupe d’orties (true strory), mais c’est trop simple et pas assez fun pour moi. Après avoir beaucoup hésité, j’ai fait une pizza (idée trouvée par ici) parce que j’avais adoré mon dernier essai aux pêches, et la prochaine fois je tenterai les gnocchis. Dans la garniture, les abricots secs ajoutent un petit côté sucré-salé, mais si tu préfères une pizza plus classique, tu peux mettre de la sauce tomate en base et enlever les fruits secs. Ou encore changer le fromage par du bleu ou du parmesan (perso j’ai tenté et feta et mozza : les deux sont délicieux !). Bref, des possibilités infinies !
Cela fait un temps fou que je voulais publier cette recette. Je l’ai faite plusieurs fois mais à chaque fois sur le pouce, sans avoir d’appareil photo à proximité, pour mes frères ou des amis. Et enfin, le moment est venu.
Spaghettis au lait coco, kézako ? Et bien on fait cuire les pâtes dans un mélange d’eau et de lait coco. C’est pas très healthy mais c’est délicieux, super parfumé, confort food au top. Et aussi facile que des pâtes normales (suffit juste de remplacer une partie de l’eau, franchement ultra ultra izi). J’ai cuisiné avec les fonds de placard mais on peut ajouter des shiitakés ou du poisson ! Ou des boulettes végétariennes (ma tante m’a avouée qu’elle était fan de mes boulettes lentilles corail carottes, qu’elle fait tout le temps, je suis super émue)…
Chaque année, je pars en vacances dans le Golfe du Morbihan. Cette année, je n’ai eu que 5 jours, mais j’en ai profité au maximum ! Et au vu de ma réputation de « blogueuse culinaire » (je ris), on se tourne toujours vers moi pour le dessert. Je m’attelle donc à la tâche parce que déjà que je loge gratuitement faudrait pas abuser non plus… Et j’improvise avec les ingrédients de bord, du coup, on finit par manger des crumbles. En effet, dans les maisons de vacances équipées du strict nécessaire (dans ma famille, il n’y a même pas de lait… adieu cobbler aux mûres dont je rêvais), les ingrédients pour la pâtisserie sont souvent absents, mais on trouve toujours un paquet de farine, du sucre et du beurre non ? Et puis c’est tellement rapide et tellement simple : pas besoin de balance, la même dose de chaque, on met au dessus des fruits, et on enfourne pendant qu’on mange le reste du repas. Parce qu’en plus parfois on a même pas internet pour chercher la recette…
J’ai donc testé ces deux crumbles, et c’était délicieux ! Le crumble aux bananes et au chocolat, spécialement, est un hit ! J’ai concassé du chocolat et l’ai ajouté dans la pâte à crumble (et pas dans les fruits) pour que ça reste assez subtil : on s’est jetés dessus, le chocolat et la banane vont parfaitement ensemble, surtout relevés par une pointe de sel, c’est croustifondant, bref parfait ! On peut éventuellement imaginer y ajouter des poires. Quant aux mûres, je conseille de diminuer les doses de crumble et de les remplacer par des spéculoos émiettés… avec des mûres fraîchement cueillies, c’est top.