Etudiante sur Lille, j'aime manger, tester des trucs, et torturer mes amis, ma famille et mes colocs Jaune et Marron [noms de code] avec plein de petits plats, plus ou moins mangeables et expérimentaux.
Le bonheur de faire une tarte et d’avoir à manger à l’avance… J’adore la feta dans les tartes (avec la courge butternut ou les blettes par exemple), je trouve que ça sublime une tarte basique en mois de deux !
Voilà donc une bonne recette pour prolonger l’été, même si pour être honnête, je n’ai pas à me plaindre de ce côté là (même si j’adore ça) : à New York, l’été indien n’est pas un mythe mais une réalité. Je ne sais pas si nous aurons le temps de voir toutes les plages de la côte avant l’arrivée du mauvais temps, mais ça ne nous empêche pas d’y consacrer nos week-ends…
Le retour de l’avant après ! Grâce à tes commentaires, de visu ou sur insta notamment, je sais que je m’améliore, mais c’est quand même pas la folie, et pour être honnête, mon arrivée aux US me complique gravement la tâche : ma cuisine n’est pas du tout éclairé, je n’ai aucun accessoire niveau mise en scène et la vaisselle est très moche ! Mais bon, si on regarde le verre à moitié plein, j’ai quand même reçu récemment comme un cadeau un cours de photo… de quoi espérer que cela s’améliore quand même.
J’ai re-réalisé cet entremet, d’abord fait pour l’anniversaire de ma mère, pour l’anniversaire d’une amie : j’ai retravaillé la déco, avec des pistaches caramélisées et des framboises bien fraîches pour éviter l’in-esthétisme des framboises décongelées…
Parfois, si les photos sont ratées, c’est que la recette l’était aussi… Là, la brioche avait mal monté, elle était un peu cramée sur le dessus. La deuxième version, dans le four de mes parents, était bien plus maîtrisée. J’ai oublié de prendre une photo avec le glaçage, malheureusement…
Si tu veux revoir les précédentes éditions : avant/après 1, 2, 3 et 4 !
Il y a peu, j’ai découvert le kedgeree, un plat indien super simple et complet : du riz, du poisson, des oeufs, et évidemment, l’assaisonnement qui change tout ! Le parfait plat réconfortant mais sain du soir. Si tu as un reste de riz cuit, c’est plié en 10 min…
Depuis que je suis à New York, je me rends compte que les restaurants sont assez peu variés en France… Pas qu’ils ne soient pas bons, mais au niveau de la cuisine étrangère, il n’y a pas grand chose ! Ici, il y a de tout ; on trouve d’ailleurs beaucoup de restos qui servent un type de plat de telle région de tel pays, avec des variations que l’on imaginait même pas ! Avec P., qui s’est envolée dans l’aventure avec moi, on a fait notre liste, on suit les conseils de nos colocs, et on va tester le maximum de choses… Pour info, on a commencé avec le traditionnel café et des pancakes, à Brooklyn. Et puis si tu veux suivre nos aventures, je t’invite à suivre mes stories Instagram (#autoplacementdeproduit).
Cette recette a convaincu tous mes collégues pour son goût, et moi pour sa rapidité et le fait qu’on a besoin de trés peu d’ingrédients, parfait donc pour le goûter de dernière minute. Les patiences sont en effet des petits biscuits super simples, qu’on peut aromatiser au citron ou avec quelques gouttes d’extrait de vanille ou d’amande amère (je plussoie surtout l’amande).
J’ai été un peu absente dernièrement, et je m’en excuse… C’est que je suis allée en vacances en Bretagne, regarder la mer pendant des heures des falaises de Kerleloup, faire beaucoup à manger (je t’en reparlerai), boire l’apéro en famille, jouer au tarot et me dire que décidément, j’adore la Bretagne. Après, je suis allée à Nantes visiter cette belle ville avec mes copines et manger dans des restos chics avec mon père. Et puis j’ai fait de nouveau ma valise, mais pour une destination plus lointaine : New York.
Eh oui, j’écris de mon petit palace (non) à Brooklyn, avec le bruit constant du ventilo (typiquement américain), les voix de mes colocs et le soleil qui tombe sur les brownstones. Je ne sais pas si j’arriverai à publier aussi souvent d’ici, car le matériel à ma disposition est beaucoup plus limité, mais j’ai pas mal de photos d’avance, donc tu vas d’abord voir défiler les photos d’été. Qui dit été, dit apéro. Qui dit apéro dit houmous. Après la recette classique et la version cacahuètes, voilà deux autres versions plus végétales, on y retrouve la texture avec un goût moins écoeurant : recette testée lors de mon anniversaire et validée !
Toute occasion est bonne pour faire des gâteaux, et mon anniversaire n’est pas une exception. Parce que oui, paraît-il qu’on ne doit pas faire son propre gâteau, mais comme c’est un de mes plaisirs, on ne va pas m’en priver… et je me suis lâchée. Avec l’aide de mes marmitons/éditrices, on a cuisiné toute l’après-midi, pour une soirée qui s’est terminée à l’aube, comme toutes les bonnes soirées.
Regarder le soleil se lever du jardin, repousser l’idée (stupide) de faire un molky à cette heure-ci, et aller se coucher en repoussant l’idée du ménage qui nous attend le lendemain. Et puis, après le rangement, faire un poulet du dimanche dans le jardin, bronzer au soleil, jouer aux cartes et prendre le dernier train pour Paris.
Récemment, nous avons eu notre dernière semaine d’examens. Une semaine à réviser, se préparer, bosser et passer lesdits exams, c’était dur… Et comme toujours en période de gros boulot, cuisiner me détend. Je me suis donc fait un petit plaisir avec cette crème pour laquelle je dois remercier Jamie Oliver ; un petit pot de crème au chocolat bien noir, à servir en petites doses, mais tellement onctueuse ! Elle se fait vraiment rapidement en plus, même si elle doit passer quelques heures au frigo, et je ne peux que recommander cette recette pour faire plaisir à des invités sans faire quelque chose de trop lourd.
Mon cher ami designer, dont je te parle souvent, s’est plaint récemment de ne jamais figurer sur mon blog. Pas de chance pour lui, quand il est là, je rate toujours mes plats ; des chaussons trop basiques, des pâtes pas ouf, des cookies cramés, des salades trop classiques… Mais enfin, la chance a tournée pour lui : la dernière fois qu’il était là, pour faire plaisir à ce carnivore, j’avais préparé de la viande et ce fut une vrai réussite !
J’adore les tajines : j’ai tendance à les faire aux légumes (légumes d’hiver, patate douce et aubergines ici) mais cette fois-ci, le côté oeufs m’attirait dans cette recette qui rappelle un peu une shakshouka. J’ai rajouté des keftas, que tu peux même acheter toutes faites en congelé au supermarché ou même au kebab (certains en vendent en effet), et en dehors de ça c’est vraiment une recette super facile.
Le retour d’Ottolenghi sur le blog ! Comme ce chef a toujours raison en cuisine, j’ai dépensé mes chèques cadeau de l’été (comme quoi, travailler a aussi ses avantages) dans ses bouquins de cuisine ! La recette d’aubergines est issue de son livre Jérusalem alors que celle de lentilles vient de ses chroniques sur le Guardian. Les deux recettes sont, comme toujours avec Ottolenghi, un délice : un écrasé de lentilles qui se mange un peu comme du houmous, et une purée d’aubergines bien fraîche pour l’été
J’en ai profité pour tester la parfaite technique pour les oeufs durs de Clothilde et cela a (quasi) changé ma vie. Je n’étais pas très fan des oeufs durs pour être honnêtes ; je les trouvais souvent secs, un peu étouffe chrétien, mais avec une façon de les cuire différente, on obtient des jaunes encore crémeux, c’est un délice !
En ces temps de chaleurs intenses et d’apéros dans les parcs ou sur les quais, ramener une feuillantine découpée en petits cubes pourrait bien faire de toi un héros moderne (rien que ça). La feuillantine, c’est une sorte de gros chausson rempli de fromage, de jambon et de béchamel : une tuerie (calorique notamment). Pas compliqué, un peu long, d’autant que la recette doit se préparer la veille, mais quel délice ! Elle a remporté un très gros succès à mon anniversaire, plusieurs personnes m’ont demandé la recette (ce à quoi je réponds toujours « bientôt sur jaimetropmanger.fr », parce que le placement de produit, il n’y a que ça de vrai).