Pour l’instant, je t’ai uniquement proposé desudonssautés, mais ces pâtes sont aussi délicieuses en bouillon ! Et pas n’importe lequel : un bouillon assez parfumé à base de champignons. Pas forcément un plat 100% d’été, mais après tout tout dépend d’où tu es, et il y a bien des gens qui font des fondues en août donc…
Ca faisait longtemps que tu n’avais pas lu de recette d’Ottolenghi ici hein ? En vrai, ce n’est pas de ma faute si mes proches m’offrent ses livres et qu’en suite je suis OBLIGEE de faire toutes les recettes ! En vrai, mon panel de recettes à te proposer s’est un peu rétréci depuis que L. est arrivé à Paris et qu’il s’est mis à cuisiner à fond… on ne va pas faire double dose juste pour le plaisir, du coup je cuisine moins et je m’adonne à mes autres passions, principalement customiser les meubles de la maison et essayer de faire survivre mes plantes.
Mais du coup j’ai quand même fait cette recette de saumon d’Ottolenghi qui était évidemment délicieuse et hyper simple. Si tu as déjà vu passer cette racette tu sais qu’elle se fait dans une poêle en fonte qui passe au four mais je n’en ai pas, donc j’ai bidouillé la recette pour ne pas avoir de problème.
Mon père collectionne les citrons séchés ; si tu as déjà oublié un peu trop longtemps un citron dans ton bol de fruits, tu as peut-être remarqué qu’il évolue ensuite selon une de ces deux tendances :
1. Moisir et contaminer tout le reste du bol de fruits
2. Devenir tout sec et rabougri et léger léger léger
Les citrons de mon père prennent tous le deuxième chemin, et ce depuis plus de 30 ans. Il a donc un saladier de citrons séchés qu’il transporte au gré des déménagements et qui ne pèse rien du tout, c’est assez impressionnant. Et apparemment, c’est de famille, car mes citrons prennent aussi ce chemin. Du coup, quand j’essaie de prendre en photo une recette au citron, je me sers de cette collection (qui sert aussi de balle au chat, qui les adore), comme tu peux le voir sur cette recette…
Et si faire sécher des citrons ne t’intéresse pas, tu peux toujours faire cette délicieuse tarte.
Est-ce que les concombres smashés sont une future nouvelle lubie d’instagram ? Probablement que non. Est-ce que ça révolutionne le goût de ce légume ? Pas vraiment. Est-ce que c’est rapide et plutôt marrant à faire ? Oui, j’avoue.
Contrairement au titre et à ce que pourrait laisser présager le nom, c’est honteusement facile, et ça se marie très bien avec du riz et un oeuf pour un repas rapide et la petite sauce pimpe parfaitement le tout… je te laisse juger.
Je ne sais pas à quel point ces empanadas sont authentiques, mais en tous cas la pâte est bien friable et beurrée, et cette recette est facile et se congèle hyper facilement, donc elle est totalement approuvée ! J’ai déjà approuvé la riste d’aubergine comme farce toute faite par ici et par là, et ça marche hyper bien en empanadas.
L’été arrive, et si j’ai bien dépensé 400000 euros en billets de train, tout n’est pas encore organisé. J’aime bien quand tout est prévu à l’avance donc ça me demande un peu de flexibilité de me dire « on verra bien ». Il y a même une possibilité cette année que je passe un peu de mes vacances à Paris, ce qui est extrêmement inhabituel ; je préfère profiter pour partir au maximum, mais peut-être que ça me fera du bien de rester posée à la maison.
Il y a quelques semaines, je suis allée à Rome avec mon groupe de potes de prépa. Nous faisons ça deux fois par an, avec un comité d’organisation (ou khomité, ceux qui ont fait prépa connaissent) qui prévoit notamment une activité surprise. Et cette fois-ci, nous avions prévu… un cours de pâtes ! Évidemment, en bons habitués des concours (prépa, j’ai dit), on s’est pris à fond au jeu de qui ferait les meilleures pâtes, et de retour à Paris, on a voulu tester nos nouvelles compétences.
Du coup, je te rapporte la technique, pas trop compliquée mais un peu chronophrage. C’est sans laminoir, mais évidemment si tu en as un la recette est la même, excepté que la partie étalage est beaucoup plus facile et rapide.
Tu as peut-être remarqué que je publiais moins en ce moment : mes symptômes de cet hiver ont repris, et la ronde des médecins recommence. De temps en temps j’ai espoir qu’on découvre ce que j’ai et que tout rentre dans l’ordre, parfois pas du tout, et ma motivation à publier suit ces vagues…
Je t’avais déjà parlé du cilbir, et j’ai découvert il y a peu que c’est délicieux sur un rösti chaud ; bon, comme je suis toujours pas super douée en oeufs pochés, je les ai fait mollets, mais on peut considérer que du coup je t’ai simplifié la recette et donc you’re welcome.
Une chose n’est pas coutume, je vais utiliser ce blog comme une tribune pour un sujet de société : non, il ne s’agit pas des élections (#sendnupes) mais bien d’un fait bien plus grave et omniprésent dans la (ma) vie : les gens qui vivent sur cour, dorment les fenêtres ouvertes, et laissent leur réveil sonner.
Chaque été, je fais face à cette gangrène de notre société moderne : forcée par la chaleur à ouvrir mes fenêtres, je suis réveillée dès 6h30 du matin par l’énergumène que, malgré tous mes efforts, je n’ai pas réussi à localiser. Après l’avoir éteint au bout de cinq de minutes de sonnerie, il le laisse ensuite resonner à 6h45, puis 7h, puis 7h15, et ne s’arrête qu’à 7h30. Mais pourquoi ?? Pourquoi s’infliger ça, et m’infliger ça ?
J’ai bien envisagé de laisser un mot à l’entrée de l’immeuble mais je me suis dit que j’avais 27 ans et pas 70 et que je voulais rester une meuf sympa, n’empêche que tous les matins, alors que la sonnerie perce dans mon réveil, je maudit cet inconnu de la cour qui m’empêche de dormir.
Il y a deux semaines, un de mes collègues préféré nous quittait (notre boîte, hein, pas la vie). Après être passée par les 8 stades du deuil et qu’il ait refusé toutes mes tentatives de corruption afin qu’il reste (ou au moins qu’il espionne la concurrence pour nous), je suis arrivée au 9e stade : lui faire un gâteau pour son pot de départ.
Comme souvent lorsque je fais un gâteau pour quelqu’un, je commence par lui demander ce qu’il veut. Et là il me sort… UNE RECETTE MARMITON DE CRUMBLE BASIQUE. Après cette insulte à mon honneur, j’ai pris les rênes du projet ; pas de gâteau trop mou ou friable pour pouvoir le servir facilement, des fruits parce qu’il ne voulait pas de chocolat (quand même, je l’ai respecté un peu), quelque chose qui n’a pas besoin de rester au frigo (déjà plein de bières)… et j’ai pensé à cette recette où on alterne pâte à gâteau à l’amande, fruits, ricotta et crumble pour finir. C’était délicieux, et il a remporté son petit succès ! C’est un gros gateau, donc si tu es en petit comité tu peux diviser par deux…
Après la brioche au pandan, il me restait de la levure boulangère, et c’était un jour de télétravail : parfait pour de la boulange, vu qu’il y a besoin de laisser reposer régulièrement. J’ai donc fait ces pains chinois qui me faisaient de l’oeil depuis longtemps, qui sont assez gros : j’en ai eu pour quelques repas et j’en ai congelé !
Le week-end dernier, j’étais avec le G10, mon groupe d’amis de prépa, à Rome. Nous avions un grand airbnb et 4 jours pour nous balader et manger des pâtes. C’était un week-end de soleil, de marche, de spritz, de danse, de pâtes, de mauvaise pizza, un peu de migraine pour moi aussi, mais surtout ça faisait plaisir de les retrouver pour ce rendez-vous désormais bi-annuel. Le comité d’organisation (dont les membres changent et donc je faisans partie cette fois-ci) avait même prévu une activité surprise : un atelier de fabrication de pâtes (évidemment, mon idée), dont je risque de te reparler bientôt…
J’essaie de manger plus de protéines en ce moment, alors que je tente de revenir à mon rythme de sport habituel après avoir été malade pendant longtemps. Parfois j’en ai un peu marre du tofu et des oeufs, donc je reviens aux légumineuses, et à ma vraie passion : les galettes et boulettes végés. Voici donc un nouvel essai assez réussi, une galette assez moelleuse, délicieuse dans un pain à hamburger avec une petite sauce au yaourt.
Si tu cherches d’autres recettes de boulettes et steaks végés :