Rösti géant de patate douce et cilbir (oeuf poché au yaourt à la turque)
Je t’avais déjà parlé du cilbir, et j’ai découvert il y a peu que c’est délicieux sur un rösti chaud ; bon, comme je suis toujours pas super douée en oeufs pochés, je les ai fait mollets, mais on peut considérer que du coup je t’ai simplifié la recette et donc you’re welcome.
Une chose n’est pas coutume, je vais utiliser ce blog comme une tribune pour un sujet de société : non, il ne s’agit pas des élections (#sendnupes) mais bien d’un fait bien plus grave et omniprésent dans la (ma) vie : les gens qui vivent sur cour, dorment les fenêtres ouvertes, et laissent leur réveil sonner.
Chaque été, je fais face à cette gangrène de notre société moderne : forcée par la chaleur à ouvrir mes fenêtres, je suis réveillée dès 6h30 du matin par l’énergumène que, malgré tous mes efforts, je n’ai pas réussi à localiser. Après l’avoir éteint au bout de cinq de minutes de sonnerie, il le laisse ensuite resonner à 6h45, puis 7h, puis 7h15, et ne s’arrête qu’à 7h30. Mais pourquoi ?? Pourquoi s’infliger ça, et m’infliger ça ?
J’ai bien envisagé de laisser un mot à l’entrée de l’immeuble mais je me suis dit que j’avais 27 ans et pas 70 et que je voulais rester une meuf sympa, n’empêche que tous les matins, alors que la sonnerie perce dans mon réveil, je maudit cet inconnu de la cour qui m’empêche de dormir.