Poissons & Crustacés

Rouleaux de nori au saumon fumé, avocat, concombre et fromage

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J’avais déjà réalisé ici des rouleaux de nori, et j’avais vraiment aimé l’idée : une feuille de nori, des légumes croquants, des graines de sésame, quelque chose de très rapide, beaucoup plus que des vrais sushis, de plus croquant aussi. Tu peux les découper en « makis » ou non, en faire plusieurs pour un vrai repas ou les servir à l’apéro !

Je suis tombée récemment sur une autre variation de Piment Oiseau, qui y mettait du saumon fumé et du fromage à tartiner à l’intérieur, en restant dans l’idée de quelque chose de plus rapide et de plus sain que les vrais makis. J’avais pas de fromage à tartiner mais j’avais un bon petit chèvre acheté au marché, tant que le fromage n’est pas trop fort, je pense que ça passe.

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Tartare saumon & poire

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Comme je l’ai confié à un pote : « j’ai l’impression d’être une invité VIP au Gala de Sciences Po oklm ». J’adore le poisson, surtout le saumon, mais mes finances me réduisent souvent à des plats plus simples et sans viande ou poisson… Mais cette semaine, c’est les vacances, je suis seule, je me fais plaiz, et j’ai donc fait un petit tartare de saumon.Je l’ai dévoré, pour moi seule, en plat principal, mais tu peux bien sur faire des petites parts pour plusieurs personnes…

Sinon je refais -comme toujours- des photos par-ci par-là, le moelleux au chocolat sans beurre et sa crème anglaise pour un anniversaire, la salade bettrave poire feta pour la bonne conscience… Un jour je ferais un article des avant/aprés, ce sera édifiant (faut que je pense à garder les vieilles photos moches…).

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Les accompagnements pour changer de la viande

Je mange assez peu de viande, ne serait-ce parce que c’est cher, et je trouve ça sympa de faire des accompagnements végétariens ou vegan avec des protéines, ou alors du poisson, que je ne sais jamais trop comment cuisiner mais que j’adore, contrairement à beaucoup de gens…

(Cet article fait un peu le jeu de toutes les photos trés moches que j’ai pu prendre de mes plats, et montre bien que la qualité de mon appareil laisse à désirer mais bon) (Maintenant que j’y pense, il aurait aussi pu s’appeler « manières ludiques de manger » parce que c’est que des boulettes et des galettes. J’ai jamais vraiment compris pourquoi c’était plus ludique mais en général ils disent ça sur TopChef)

Galettes de haricots rouges

A Sciences Po, on a des repas à thémes, ou tu t’inscris, tu raméne les sous et tu cuisines et dégustes : lors d’un repas vegan, j’ai eu l’occasion de tester ces galettes, et franchement j’ai été comblée ! En plus c’est uber simple. Le top c’est de les manger avec de la sauce soja, ou alors avec un peu de moutarde comme des röstis.

  • 400 g de haricots rouges cuits (soit la contenance d’une boite de supermarché en général)
  • 3 c à s de farine
  • 1 oignon
  • 1 poignée de pignons de pin
  • sel, poivre

Eplucher et émincer l’oignon. Dans une poele sans matière grasse, faire revenir les pignons 5 min pour qu’ils grillent un peu. Réserver.

Dans un saladier, mixer les haricots rouges égouttés et l’oignon émincé. Ajouter la farine et mélanger pour attindre une consistance permettant de faire des galettes, même si assez elles seront assez molles. Rajouter de la farine si nécessaire. Ajouter les pignons et assaisonner au goût.

Faire chauffer une poêle avec un peu de matière grasse, mettre une grosse cuillière de pâte et laisser cuire à feu doux 5 min avant de retourner.

Boulettes maquereaux aux amandes et au curry (d’après une recette de Beau à la louche)

Cette recette là est née de l’idée de faire manger du poisson à Marron, qui n’aime pas ça et je crois que le pari était réussi, car j’ai reçu le lendemain un snapchat de son tupperware de boulettes sobrement intitulé « c’est du sale » (ce qui, si vous ne parlez pas bordelais, signifie super bon). Les boulettes c’est top pour manger du poisson, ça se mange tout seul et ça fait oublier l’aspect peu apétissant du poisson en boite. Et en plus, ça peut se bidouiller avec les fonds du placard.

  • 2 boites de maquereaux nature
  • 3 portions de kiri
  • 5 c à s de poudre d’amandes
  • 3 c à s de chapelure fine
  • 1 poignée d’amandes éffilées
  • 1 poignée de raisins secs
  • 2 c à c de curry, sel, poivre

Vider l’huile des maquereaux, les écraser à la fourchette au fond d’un saladier. Ajouter le kiri, la poudre d’amandes, la chapelure et les épices. Mélanger.

Ajouter les amandes éffilées et les raisins secs et mélanger de nouveau. Former des boulettes avec la main et les mettre au frais jusqu’au moment de servir.

Boulettes de sardines à la ciboulette (toujours d’après une recette de Beau à la louche)

Et toujours pour Marron, qui a aimé ! (Je racontais d’ailleurs à ma mère que j’avais réussi à faire manger du poisson à mes colocs quand petit frère n°3, 7 ans, s’est exclamé « Marron ? Mais elle aimait pas ça non ? », poruvant que même s’il ne disait rien, il écoutait et retenait toutes les conversations autour de lui (D’ailleurs il a lu mon blog il y a pas longtemps (coucou) et a trouvé ça super drôle que je l’appelle comme ça)

  • 2 boites de sardines nature
  • 3 portions de kiri (je n’en avait pas sous la main donc je l’ai remplacé par du yaourt à la grecque : ça passe)
  • 3 c à s de chapelure fine
  • 2 c à c de miel
  • De la ciboulette hachée
  • sel, poivre

Vider l’huile des sardines, les écraser à la fourchette au fond
d’un saladier. Ajouter le kiri, le miel, la chapelure et les
épices. Mélanger.

Former des boulettes avec la main, les rouler dans la ciboulette et les
mettre au frais jusqu’au moment de servir.

Grönsaksbollar : Les boulettes de lentilles comme chez Ikea (Trouvé par ici)

Je vais être honnête avec toi, j’ai failli créer le tag « Ikea » mais je me suis dit que ce n’était pas trés pertinent politiquement (ou j’ai eu honte). Parce que oui, c’est les boulettes végés de chez Ikea ! Elles sont vachement bonnes, hyper moelleuses, et tu peux un peu les assaisoner à ta manière. C’est bon avec une sauce tomate, u pesto (on en a toujours quelques doses congelées maison ici) ou de la moutarde, enfin avec une petite sauce quoi. Dans des pâtes ou de la salade c’est top aussi, et c’est plein de bonnes protéines !

  • 200 g de lentilles vertes
  • 1/2 oignon
  • 1 échalote
  • 1 petite carotte
  • 3 c à s de farine
  • 1 oeuf ou 2 c à s de graines de lin moulues (version vegan)
  • sel, poivre, épices de ton choix (j’ai mis un peu de ras-al-hanout, mon chouchou du moment)
  • Huile de friture

Faire tremper les lentilles minimum 2h (la nuit précédente, c’est le top). Egoutter, et faire cuire dans un grand volume d’eau salée ; plus les lentilles ont trempé, moins elles mettront de temps à cuire (10 minutes pour moi). Egoutter, réserver.

Pendant ce temps, éplucher et émincer l’oignon et l’échalote. Faire revenir dans une poêle avec un peu de matière grasse jusqu’à ce qu’ils soient transparents. Ajouter aux lentilles. Eplucher et raper la carotte, ajouter avec la farine, l’oeur ou les graines de lin, sel, poivre et épices selon tes goûts pour relever un peu.

Mixer le tout grossièrement, la purée ne doit pas être complétement lisse. Si tu utilises des graines de lin, laisser reposer une dizaine de minutes. Si la pâte est trop liquide, ajouter de la farine.

Faire chauffer une poêle avec de l’huile de friture, former des boulettes (la pâte colle, au pire tu peux les rouler dans la farine (comme c’est drôle) mais perso j’ai pas trouvé ça nécessaire) et les faire cuire sur toutes les faces. Les placer au fur et à mesure sur du papier absorbant pour éponger l’excés d’huile.

Bon ap’ !

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Chirashi au saumon et avocat

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Ayant emménagé il y a peu, j’ai fini par inviter mon paternel à manger chez moi, comme la personne adulte et responsable que je suis. Il n’y a que quand on est adulte qu’on invite ses parents à manger et pas l’inverse.

Savoir quoi cuisiner a été plus compliqué. Déjà, car quand on est adulte on a envie d’impressionner ses parents sur ses capacités culinaires (ceci dit, les miens ne s’inquiètent pas trop de ce côté là), ensuite, parce qu’on veut vraiment qu’ils aiment ce qu’on a préparé. Mon père n’est pas difficile mais justement, il apprécie surtout les plats simples, légers, n’aime pas trop la viande et les 3/4 de ses repas comportent du riz. Oh et je n’ai pas trop de sous en plus.

Du coup, j’ai misé sur le facile et japonisant : ça a marché. Un chirashi comme on en commande dans les restos, avec du riz à sushis, du saumon et de l’avocat. Izi.

Bonus : je t’explique comment faire une jolie rose d’avocat, comme les instagrameuses, avec ou sans du saumon dedans. De rien.

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Lasagnes de ravioles du Dauphiné, saumon et courgettes

 

On avait la gueule de bois avec A., je rêvais de lasagnes, et j’ai donc récupéré cette recette , qui est plus rapide à cuisiner que des lasagnes de base : pas de béchamel à faire, juste un peu de crème, des plaques de ravioles, du saumon fumé en tranches, juste des courgettes à couper quoi. On a cuisiné, on a mangé la moitié à deux (oupsi) et après on a aidé les voisins à démarrer leur voiture. Un repas tout à fait normal, en somme.

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Le nouvel article des salades saines

Encore l’article easy de recettes qu’on dirait saines et qui sont faciles… Pour la bonne conscience pré-été !

Salade toute verte pomme – avocat – roquette

Là, en gros, roquette, une pomme épluchée en morceaux, et deux petits avocats bien murs en morceaux ! Petite vinaigrette et voilà. J’ai essayé aussi avec du pesto pour rajouter encore du vert mais c’était moins sympa… Peut être avec un pesto de roquette ou de fanes de radis (recette à venir, je promise).

Une autre salade un peu verte petits-pois – fêta – oignons rouges – menthe

Je l’ai trouvé chez l’Ornithorynque que j’adore : en gros, tu écosses tes petis pois et les fait cuire 10-15 min dans l’eau bouillante salée, sauf si tu habites en Espagne / a la flemme et que tu les achète en boite déjà cuits. De la fêta, un oignon rouge coupé en rondelles et quelques feuilles de menthe ! Manque plus que l’éternelle vinaigrette, sel, poivre, et c’est bon.

Salade Caprese de Jamie O. encore : pêches – jambon de parme

Cette salade là est vraiment délicieuse, mais pas vraiment bikini-proof. Pour une personne, tu mets deux pêches coupées en morceaux, une boule de mozza en morceaux, quelques tranches de jambon de parme et un peu de basilic ! Tu peux rajouter de la salade style roquette mais perso je trouve que c’est bien comme ça. Et bien sûr sel poivre vinaigrette !

L’ultra classique que j’ai presque honte de présenter : avocat – pamplemousse – crevettes

Super izi, j’ai presque honte. Deux avocats, un pamplemousse et des crevettes, voilà.

Des gros bisous.

 (on y croit tous)Enregistrer

Brandade de Morue

Ici, à Salamanca, on est tout prés du Portugal, donc le bacalao, c’est à la mode. Mais déjà qu’en allant à Lisbonne on a galéré pour trouver des accras, alors la brandade c’était completemment impossible.

Sauf que moi, ma nounou, elle me faisait de la brandade de morue.

La conclusion était évidente : j’allais choquer mes colocs en faisant un nouveau plat chelou.

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Les Spaghetti alla Putanesca des Orphelins Baudelaire

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Quand j’étais enfant, j’étais une très grande lectrice de livres, et pour être honnête, je le suis encore maintenant, en jeunesse (j’en suis à quoi, ma dixième relecture d’Harry Potter ?) et autres. J’avais même des bouquins cachés dans ma case pour quand je m’ennuyais en cours, je lisais dans la cour de récré (en vrai j’avais des amis quand même hein…), je lisais quand mes parents m’obligaient à les accompagner pour des marches (la gamine à côté du précipice, c’était moi)…

Et puis souvent dans les bouquins ON MANGE TROP BIEN. Surtout dans les Rougemuraille, ils font des banquets de ouf tout le temps (et ils mangent notamment des scones, que je n’avais jamais gouté, un vrai sujet de fascination sans même savoir à quoi cela ressemblait). Parfois, il y avait aussi des plats plus classiques, par exemple, les Pâtes Alla Putanesca des Orphelins Baudelaire… Le comte Olaf, dans le premier tome, oblige ainsi les trois orphelins à faire un plat pour son affreuse trouve de théâtre, et ils improvisent un plat de pâtes avec les ingrédients du placard.

Cela faisait longtemps que je voulais tenter cette recette, qui dans ma tête est irrémédiablement liée à ce livre et là, toutes les conditions étaient réunies : je voulais quelque chose de rapide, qui ne nécessite pas d’ingrédients frais parce qu’on est en week-end férié et que je suis en pyjama chez moi, et en même temps un plat qui calle bien pour un lendemain de gueule de bois, et quoi de mieux que les pâtes ? J’en profite pour faire un argumentaire en faveur des sauces pour les pâtes : des amis me disent souvent qu’ils ont la flemme de cuisiner, que c’est trop long, et bien justement, la plupart des sauces de pâtes sont assez faciles (ici c’est ultra izi) et rapides pour se faire pendant le temps de cuisson des pâtes, donc cette excuse n’est pas valide.

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Curry potiron-crevettes-noix de cajou

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Plus j’ai du boulot à faire, plus je fais d’autres trucs style cuisiner… En même temps, le curry, c’est un peu mon plat confort food par excellence. C’est chaud, ça tient au corps, c’est parfumé… Doudou quoi. Du coup, quand je déprime, je dois travailler, je suis malade, surtout l’hiver, c’est curry. Et puis comme ça tu sauras comment utiliser ton potiron que tu traînes depuis plusieurs jours dans ton placard et qui a déjà fait deux soupes… Sinon, tu peux aussi acheter potiron et crevettes surglées !

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