A mon retour du Japon, je ne pouvais pas faire autre chose qu’une recette japonaise… non ?
J’avoue, je triche un peu, c’est à peine une recette tellement c’est simple. J’ai été tellement prise avec l’aménagement de l’appart, la préparation du Japon et le voyage en soi que je n’ai pas pu poster depuis longtemps, je m’excuse platement envers mon (inexistant) fan club. Le voyage était incroyable, je t’en parlerai dans d’autres articles à venir, et pour patienter, voici la recette parfaite des oeufs pour les ramens…
Depuis quelques semaines, je me suis mise à la danse. En dehors du cours de danse classique en primaire et de mon déhanché légendaire en boîte, je n’ai jamais trop dansé : j’ai toujours su que mon sens du rythme n’était pas incroyable. Cependant, au confinement numéro 1, avec mes colocs, on s’était lancés dans une choré… et j’avais adoré ça, même si, encore une fois, je n’était pas très douée.
Du coup, après pas mal d’hésitations, je me suis lancée dans des cours de choré « débutants » dans lequel je suis évidemment la plus nulle au fond de la salle. J’ai beaucoup de mal à retenir une choré et à me concentrer sur tous les éléments, mais j’adore être dans la répétition du mouvement jusqu’à arriver à la perfection, comme une compétition contre soi-même, et puis évidemment, finir épuisée mais tellement à fond que je pourrais enchaîner sur 1h de plus…
Quand on sort de ce genre de cours intenses, on est évidemment affamés, et on est allées plusieurs fois avec une copine manger à Belleville qui n’est pas loin. C’est là que j’ai découvert cette recette, traditionnellement à base de viande, de boulettes vegan avec des légumes croquants dedans ; avec une petite sauce à base de sauce soja, c’est délicieux, et facile à faire en grande quantité…
Quand j’ai voyagé au Japon, j’avais une to-eat-list, avec toutes les pâtisseries que j’avais vues dans des mangas ou des animes. Dès les premiers jours, j’ai trouvé un petit vendeur dans la rue qui vendait les fameux dangos ; ceux-ci s’appellent hanami parce qu’ils représentent la neige (blanc), la nouvelle pousse (vert) et la floraison des cerisiers au printemps (rose). Peut-être que j’avais trop d’attentes, mais j’avais été un peu déçue : la texture était élastique et le goût n’était pas très prononcé… Petite déception, donc.
Et puis, à la fin de mon séjour, j’avais appris à l’aprécier.
Et puis cette semaine, j’avais encore de la farine de riz gluant à finir, donc je me suis jetée sur la recette ; je n’avais pas de feuilles de cerisier, évidemment, et les miennes sont un peu trop roses parce que le colorant m’a échappé des mains, mais la texture, qui est la partie la plus importante, est vraiment bien réussie ! Après, c’est pas du goût de tout le monde, le goût est assez subtil et la texture rebutante pour certains… mais si tu as envie de te lancer dans une recette japonaise très facile et de goûter ce classique, lance toi !
Je suis en plein processus de vidage de placard et il me restait depuis l’année dernière (du tang yuan pour tout te dire) de la farine de riz gluant, et j’avais probablement besoin de ce coup de pied au derrière pour enfin me lancer dans les mochis…
J’avais peur de la complexité et du façonnage (surtout depuis que j’ai vu Dash & Lily), et en fait, c’était beaucoup plus facile que ce que je pensais ! Pour cette recette, tu as besoin d’un micro-ondes, mais je suis sûre que tu trouveras d’autres techniques sur le internet si tu n’en as pas). Pour la farce, tu peux te faire plaisir, perso j’ai vu une recette de farce à l’amande et je m’en suis inspirée pour faire cette version, très automnale et gourmande, avec une sorte de frangipane à la noisette.
J’ai acheté un énorme pot de gochujang il y a quelques mois, dans l’idée de faire du kimchi, que je n’ai jamais fait parce que je n’ai pas assez de place dans le frigo en ce moment pour stocker des saladiers de chou. Du coup, je l’utilise dans des sauces, et j’ai fait un test avec ces poulpes, en simplifiant un peu la recette. C’était bien piquant et délicieux, parfait pour l’hiver !
Depuis que L. est parti, je finis les restes. Il m’a laissé des moitiés de légumes, des yaourts protéinés, des jaunes d’oeufs, des bouts de fromage en tranches… et un concombre. Bon, ça, au moins, je savais quoi en faire : ma nouvelle salade préférée.
Cette salade, j’en ai mangé tout l’été. C’est une façon rapide et facile d’accomoder les concombres, la sauce est piquante mais très équilibrée, tu peux également ajouter du riz chaud pour en faire un plat complet. Alors évidemment les ingrédients de la sauce sont plutôt trouvables en épiceries asiatiques, mais perso j’en ai toujours chez moi et on peut les utiliser dans plein de choses, à commencer par du kimchi.
Ce n’est un secret pour personne : j’ai vraiment du mal à arrêter le porc. C’est une viande qui est beaucoup utilisée dans la cuisine asiatique, et notamment dans ces aubergines chinoises, qui sont appelées farcies mais franchement c’est plutôt « avec un truc collé au dessus ». Cette recette est délicieuse avec un peu de riz (comme la plupart des recettes chinoises) et elle complète ma série de recettes associant porc et aubergine !
Depuis que L. est revenu à Paris, manger végétarien est devenu très compliqué. En effet, j’aime beaucoup la viande, je ne me réfrène pas par goût mais par conviction écologique ; et L., qui était comme moi, a commencé à faire beaucoup de sport et à manger beaucoup de viande… A chaque repas, j’ai donc l’odeur du jambon, du poulet et autres, et souvent j’ai la flemme de faire du tofu ou un oeuf juste pour moi alors je finis par ne pas manger de protéines… ou par lui en piquer un peu.
Du coup, j’ai cuisiné du porc, que j’adore dans des recettes asiatiques, et je trouve qu’avec un peu de riz c’est le paradis… Ceci dit, je pense que la recette peut être délicieuse avec des PST (protéines de soja texturées) !
Pour mon anniversaire, mon ami A. m’a envoyé une sauce soja sucrée made in France… rien à voir avec celle qu’on connaît. Très sucrée, presque sirupeuse, avec un goût d’agrumes plus prononcé et une texture super différent… je l’ai testée sur cette recette d’aubergines et d’oignons nouveaux avec un bol de riz blanc et c’était délicieux ! Une fois cette précieuse sauce soja sucrée finie, j’ai retenté la recette avec une sauce sucrée classique du commerce et c’était super aussi alors je te file la recette.
Depuis que L. est en France, mes suggestions netflix ont changé. Des comédies romantiques et séries fantastiques, je suis passée aux documentaires sur les meurtres, les sectes et autres sombres faits. J’écris donc cette article en écoutant d’une oreille l’histoire de psycopathes, ce qui est très déconcertant.
Je ne poste pas beaucoup de poisson par ici car je manque de nouvelles idées originales pour l’accomoder, mais la marinade au miso qui caramélise en cuisant, c’était l’idée de génie (c’est pas moi qui l’ait eu mais quelqu’un de l’instagram).