Aubergines grillées, sauce blanche et grenade d’Ottolenghi

J’ai bien du te parler dix mille fois de à quel point j’adorais Ottolenghi (qui, rappelons le encore une fois, n’est pas végétarien, même si Plenty et Plenty More sont des bibles végés (et je les veux mais j’ai pas d’argent. Je pose ça là c’est Noël dans pas longtemps)). J’ai donc enfin testé sa recette phare, qu’on voit partout parce qu’elle est colorée (et délicieuse) : des aubergines fondantes avec une sauce crémeuse fraîche, des graines de grenade acidulées et des noix de cajou croquantes (tout un programme je te dis).

C’est ultra facile, avec un temps de préparation ridicule (soit couper les aubergines, en gros) mais trèèèès long à cuire. Si tu es déjà en train de crever la dalle, fais pas ça, conseil d’ami.

Pour 2-3 personnes sans accompagnement :

  • 2 aubergines
  • 1 grenade
  • 1 c à c de z’aatar
  • 2-3 c à s de noix de cajou
  • Sel (perso je prends du sel fou, une tuerie), poivre, thym

Pour la sauce :

  • 6 c à s de fromage blanc (Ottolenghi utilise de lait fermenté, mais je suis team simplicité)
  • 1 à 2 gousses d’ail
  • 2 c à s de jus de citron

Préchauffer le four à 190°c.

Laver les aubergines, les couper en deux dans la longueur. Les inciser en quadrillage bien profondément, pour que l’aubergine cuise bien. Les déposer sur une plaque de four recouverte de papier sulfurisé. Certains mettent un peu d’huile d’olive, perso je trouve que comme l’aubergine est une véritable éponge, ça prend trop le goût. Bref, soit tu mets de l’huile d’olive, soit tu passes directement à l’étape suivante : sel, poivre, thym.

Enfourner pour une quarantaine de minutes, jusqu’à ce que l’aubergine soit vraiment fondante.

Pendant ce temps, enlever les graines de la grenade. Bon courage.

Préparer la sauce en mélangeant fromage blanc, citron, sel, poivre et gousses d’ail écrasées.

Une fois les aubergines cuites, les disposer dans les assiettes, recouvrir de la sauce au fromage blanc, des graines de grenade, des noix de cajou et d’un peu de z’aatar.

Bon ap’ !